Le face-à-face entre le Doyen des juges d'instruction et Cheikh Yérim Seck ce mercredi 17 juin pourrait déboucher sur une liberté provisoire du journaliste. Et cela malgré la réquisition du procureur de la République de délivrer un mandat de dépôt au patron de Yérim Post.
D'après une source de PressAfrik, très au fait du dossier, le Doyen des juges ne va pas suivre le parquet, qui a demandé hier mardi, l'ouverture d'une information judiciaire contre le journaliste qui devrait être poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et outrage à agent dans l'exercice de ses fonction.
Il y a selon notre source de fortes chances que l'ancien chroniqueur du magazine Jeune Afrique rentre auprès de sa famille au sortir de son audition chez le doyen des juges.
Pour rappel Cheikh Yérim Seck a été interpellé dans l’affaire Batiplus sur laquelle il révélait, sur un plateau télé, la saisine de 4 milliards de Fcfa de la Gendarmerie chez la famille Farès. Une somme qui a été en grande partie rendue, selon lui, à cause d’interventions venues d’en haut. Devant la Section de Recherches, il lui a été demandé de fournir des preuves de ses allégations. Chose qu’il a refusée de faire, sous prétexte qu’il révélerait par la même occasion ses sources. Un droit que lui consacre l’article 16 du Code de la presse.
Toutes les organisations de la presse nationale (Synpics, Cdeps, Cnjr) ont dénoncé son arrestation. L'ONG Reporters sans Frontières (RSF) a également déploré cela via son compte Twitter.
D'après une source de PressAfrik, très au fait du dossier, le Doyen des juges ne va pas suivre le parquet, qui a demandé hier mardi, l'ouverture d'une information judiciaire contre le journaliste qui devrait être poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et outrage à agent dans l'exercice de ses fonction.
Il y a selon notre source de fortes chances que l'ancien chroniqueur du magazine Jeune Afrique rentre auprès de sa famille au sortir de son audition chez le doyen des juges.
Pour rappel Cheikh Yérim Seck a été interpellé dans l’affaire Batiplus sur laquelle il révélait, sur un plateau télé, la saisine de 4 milliards de Fcfa de la Gendarmerie chez la famille Farès. Une somme qui a été en grande partie rendue, selon lui, à cause d’interventions venues d’en haut. Devant la Section de Recherches, il lui a été demandé de fournir des preuves de ses allégations. Chose qu’il a refusée de faire, sous prétexte qu’il révélerait par la même occasion ses sources. Un droit que lui consacre l’article 16 du Code de la presse.
Toutes les organisations de la presse nationale (Synpics, Cdeps, Cnjr) ont dénoncé son arrestation. L'ONG Reporters sans Frontières (RSF) a également déploré cela via son compte Twitter.
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