Travail technico-tactique ! Combinaisons ! Essayages ! Le sélectionneur national des «Lions» peaufine sa stratégie pour dompter les «Eléphants» de la Côte d’Ivoire samedi prochain lors du match retour comptant pour les éliminatoires de la Can prévue du 19 janvier au 10 février 2013 en Afrique du Sud. Karim Séga Diouf qui faisait face à la presse hier, a dévoilé le projet que concocte Joseph Koto.
«Nous avons fait une séance d’entraînement à dominante technico-tactique. C’est une séance qui nous a permis d’essayer des combinaisons. Elle nous a aussi permis d’avoir la complémentarité de nos joueurs bien que Papis Demba Cissé, Demba Bâ, Moussa Sow et Dame Ndoye aient des habitudes de jeu au sein de l’équipe nationale et dans leur club», a d’emblée déclaré l’ancien sélectionneur de l’équipe nationale olympique.
Puis, il enchaine : «Nous avons également insisté sur l’aspect offensif. Nous avons divisé le groupe en deux. Les joueurs arborant les chasubles orange n’ont joué qu’avec trois défenseurs avec des milieux récupérateurs en même temps animateurs de jeu. Mais devant eux, il y avait quatre attaquants qui ont l’habitude de jouer ensemble».
«Ce que nous cherchons à avoir, confie Karim Séga Diouf, c’est la valeur et la complémentarité entre Papiss Demba Cissé et Demba Bâ».
Seront-ils titularisés ? «C’est un projet possible, répond le sélectionneur adjoint, qui s’empresse d’ajouter : comme d’autres combinaisons aussi. Mais nous pensons que leur complémentarité, leur relation affective mais aussi en corrélation avec notre projet de jeu, nous pouvons être tentés à les mettre à la pointe de l’attaque. A moins que quelque chose de fâcheux n’intervienne».
Les révélations de Karim Séga Diouf ne sont pas arrêtées là. Au niveau de la défense aussi, l’ancien coach des «Lions» avait quelque chose à dire. «Nous avons essayé une défense à trois. Ce qui se comprend facilement parce que dans notre projet, un des latéraux sera appelé à apporter main forte devant. Mais, on ne prendra pas le risque de jouer avec trois défenseurs face à une équipe comme la Côte d’Ivoire aussi puissante offensivement», indique-t-il.
«Mais tout cela reste à peaufiner davantage parce que nous sommes à trois jours du match. Il nous reste encore deux séances d’entrainement. Le football est aussi un sport à aléas, même si nous ne souhaitons avoir aucun pépin», conclut-il. Sabri Lamouchi n’a qu’à lire la presse pour savoir à quoi s’attendre.
Source : Sudonline
«Nous avons fait une séance d’entraînement à dominante technico-tactique. C’est une séance qui nous a permis d’essayer des combinaisons. Elle nous a aussi permis d’avoir la complémentarité de nos joueurs bien que Papis Demba Cissé, Demba Bâ, Moussa Sow et Dame Ndoye aient des habitudes de jeu au sein de l’équipe nationale et dans leur club», a d’emblée déclaré l’ancien sélectionneur de l’équipe nationale olympique.
Puis, il enchaine : «Nous avons également insisté sur l’aspect offensif. Nous avons divisé le groupe en deux. Les joueurs arborant les chasubles orange n’ont joué qu’avec trois défenseurs avec des milieux récupérateurs en même temps animateurs de jeu. Mais devant eux, il y avait quatre attaquants qui ont l’habitude de jouer ensemble».
«Ce que nous cherchons à avoir, confie Karim Séga Diouf, c’est la valeur et la complémentarité entre Papiss Demba Cissé et Demba Bâ».
Seront-ils titularisés ? «C’est un projet possible, répond le sélectionneur adjoint, qui s’empresse d’ajouter : comme d’autres combinaisons aussi. Mais nous pensons que leur complémentarité, leur relation affective mais aussi en corrélation avec notre projet de jeu, nous pouvons être tentés à les mettre à la pointe de l’attaque. A moins que quelque chose de fâcheux n’intervienne».
Les révélations de Karim Séga Diouf ne sont pas arrêtées là. Au niveau de la défense aussi, l’ancien coach des «Lions» avait quelque chose à dire. «Nous avons essayé une défense à trois. Ce qui se comprend facilement parce que dans notre projet, un des latéraux sera appelé à apporter main forte devant. Mais, on ne prendra pas le risque de jouer avec trois défenseurs face à une équipe comme la Côte d’Ivoire aussi puissante offensivement», indique-t-il.
«Mais tout cela reste à peaufiner davantage parce que nous sommes à trois jours du match. Il nous reste encore deux séances d’entrainement. Le football est aussi un sport à aléas, même si nous ne souhaitons avoir aucun pépin», conclut-il. Sabri Lamouchi n’a qu’à lire la presse pour savoir à quoi s’attendre.
Source : Sudonline
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