La question du 3e mandat est à l’origine de « tout le désordre dans ce pays ». C’est du moins l’avis de Ndeye Fatou Ndiaye Blondin Diop, conseillère départementale élue à Mbour sous la bannière Yewwi Askan Wi (Yaw) qui est convaincue qu’il faut « un rapport de force pour remettre le Sénégal dans les rails ».
Lors de l’émission jury du dimanche sur I-radio, de ce 12 mars, Ndeye Fatou Ndiaye Blondin Diop a analysé la situation actuelle du pays marquée par une crise socio-politique. Selon ce membre de Yewwi Askan Wi, la question du 3e mandat est à l’origine de « tout le désordre dans ce pays ».
Poursuivant son analyse, elle a jouté : le fait qu’on fasse « sauter le chef d’État-major de la gendarmerie à quatre mois de la retraite, qui fait qu’on emprisonne des gens, et chaque fois qu’il y a une manifestation, il y a l’armada qui sort. On dirait qu’on est en guerre. Tout ça, c’est le 3e mandat ».
« On se rend compte qu’on est vraiment dans l’impasse », a-t-elle regretté. Avant de magnifier la volonté manifeste de rassembler l’opposition initiée par Yaw. Pour Mme Diop, « l’objectif est de remettre l’État du Sénégal dans les rails démocratiques ». Pour y arriver, a-t-elle proposé, « il faut un rapport de force sur le terrain ».
Ndeye Fatou Ndiaye Blondin Diop a aussi déploré le manque de « dialogue ». Elle a expliqué : « On a tué trois fois l’esprit du dialogue. Quand on se rencontrait, c’était pour faire des deals pour Karim Wade (et) sur le processus électoral ». Par conséquent, a-t-elle pesté, « tous les autres volets ont été passés sous silence ».
Avant de se questionner : « Quand vous mettez sur la tête de la principale figure de proue de l’opposition (Ousmane Sonko), deux, trois voire quatre procès, pour l’empêcher de se présenter, est-ce qu’il y a un esprit pour dialoguer ? Puis, dialoguer avec qui ? Vous dialoguez avec quelqu’un qui se dédie effrontément. 'Je fais cinq ans", il fait sept ans. La question du 3e mandat était réglée. Aujourd’hui, on est en plein dedans », a-t-elle conclu.
Lors de l’émission jury du dimanche sur I-radio, de ce 12 mars, Ndeye Fatou Ndiaye Blondin Diop a analysé la situation actuelle du pays marquée par une crise socio-politique. Selon ce membre de Yewwi Askan Wi, la question du 3e mandat est à l’origine de « tout le désordre dans ce pays ».
Poursuivant son analyse, elle a jouté : le fait qu’on fasse « sauter le chef d’État-major de la gendarmerie à quatre mois de la retraite, qui fait qu’on emprisonne des gens, et chaque fois qu’il y a une manifestation, il y a l’armada qui sort. On dirait qu’on est en guerre. Tout ça, c’est le 3e mandat ».
« On se rend compte qu’on est vraiment dans l’impasse », a-t-elle regretté. Avant de magnifier la volonté manifeste de rassembler l’opposition initiée par Yaw. Pour Mme Diop, « l’objectif est de remettre l’État du Sénégal dans les rails démocratiques ». Pour y arriver, a-t-elle proposé, « il faut un rapport de force sur le terrain ».
Ndeye Fatou Ndiaye Blondin Diop a aussi déploré le manque de « dialogue ». Elle a expliqué : « On a tué trois fois l’esprit du dialogue. Quand on se rencontrait, c’était pour faire des deals pour Karim Wade (et) sur le processus électoral ». Par conséquent, a-t-elle pesté, « tous les autres volets ont été passés sous silence ».
Avant de se questionner : « Quand vous mettez sur la tête de la principale figure de proue de l’opposition (Ousmane Sonko), deux, trois voire quatre procès, pour l’empêcher de se présenter, est-ce qu’il y a un esprit pour dialoguer ? Puis, dialoguer avec qui ? Vous dialoguez avec quelqu’un qui se dédie effrontément. 'Je fais cinq ans", il fait sept ans. La question du 3e mandat était réglée. Aujourd’hui, on est en plein dedans », a-t-elle conclu.
Autres articles
-
Le maire de Keur Massar Sud va passer sa première nuit en prison
-
Guy Marius Sagna et Cie traînent plusieurs autorités devant la justice
-
Tension politique: Taxawu Senegaal condamne les arrestations "arbitraires" et appelle à s'unir pour faire face à Macky Sall
-
Evénements du 16 mars: 5 députés sénégalais déposent une plainte contre les ministres de l'Intérieur et des Forces armées
-
Seydi Gassama hausse le ton: "M. le Président Macky Sall, le Sénégal n'est plus un Etat de droit de référence en Afrique"