Gérald Darmanin se dit « prêt à aller jusqu’à l’autonomie » de la Corse dans un entretien au journal « Corse-Matin », mardi 15 mars 2022. Le ministre de l’Intérieur reconnaît également une « responsabilité de l’État » à propos de l’agression d’Yvan Colonna en prison.
Dans un entretien accordé au journal Corse-Matin , mardi 15 mars 2022, Gérald Darmanin a admis qu’il allait engager une « discussion sans précédent autour de la question institutionnelle ». Un processus qui, selon lui, sera « logiquement engagé pendant le second mandat du président de la République » , si Emmanuel Macron est réélu.
Gérald Darmanin, qui doit se rendre sur place mercredi 16 et jeudi 17 mars, se dit « prêt à aller jusqu’à l’autonomie. Après, la question est de savoir ce qu’est cette autonomie. Il faut qu’on en discute. » Gérald Darmanin reconnaît également une « responsabilité » de l’État dans l’agression du militant nationaliste Yvan Colonna.
Sur l’agression d’Yvan Colonna, « il y a une responsabilité de l’État »
Le ministre de l’Intérieur insiste cependant sur un retour au calme, préalable à toute discussion : « Il ne peut pas y avoir de dialogue sincère en démocratie sous la pression des bombes agricoles et la présence, ou l’omniprésence, des forces de l’ordre. »
À propos de l’agression du militant nationaliste Yvan Colonna en prison, « il y a une responsabilité de l’État en tant que protecteur des personnes qui sont sous sa responsabilité, en l’occurrence des prisonniers », a admis le ministre.
Dans un entretien accordé au journal Corse-Matin , mardi 15 mars 2022, Gérald Darmanin a admis qu’il allait engager une « discussion sans précédent autour de la question institutionnelle ». Un processus qui, selon lui, sera « logiquement engagé pendant le second mandat du président de la République » , si Emmanuel Macron est réélu.
Gérald Darmanin, qui doit se rendre sur place mercredi 16 et jeudi 17 mars, se dit « prêt à aller jusqu’à l’autonomie. Après, la question est de savoir ce qu’est cette autonomie. Il faut qu’on en discute. » Gérald Darmanin reconnaît également une « responsabilité » de l’État dans l’agression du militant nationaliste Yvan Colonna.
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Le ministre de l’Intérieur insiste cependant sur un retour au calme, préalable à toute discussion : « Il ne peut pas y avoir de dialogue sincère en démocratie sous la pression des bombes agricoles et la présence, ou l’omniprésence, des forces de l’ordre. »
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