
Ces personnes affirment que leur adoption s’est faite dans des conditions frauduleuses. Les faits auraient eu lieu entre 1989 et 1996. Pour le parquet, les faits qualifiés d’escroquerie sont prescrits, et ceux de recel d’escroquerie et abus de confiance ne sont pas assez caractérisés.
Maître Noémie Saidi Cottier, membre de l’alliance des avocats pour les droits de l’homme, est l'une des avocates des plaignants. Elle s’étonne que la plainte ait pu être classée sans suite si rapidement. Elle prévoit une réunion avec ses clients dès ce mercredi, et est persuadée qu’ils n’en resteront pas là.
« on va pouvoir demander la saisine d'un juge d'instruction dès maintenant. On va le faire cette semaine où dans les jours. [...] On a eu depuis notre dépôt de plainte des parents adoptifs qui se sont rapprochés de nous, des cas d'adoption plus récents donc on va aussi les recevoir. Ils seraient susceptibles de porter d'autres plaintes pour des adoptions illégales au Mali ou ailleurs."
Maître Noémie Saidi Cottier, membre de l’alliance des avocats pour les droits de l’homme, est l'une des avocates des plaignants. Elle s’étonne que la plainte ait pu être classée sans suite si rapidement. Elle prévoit une réunion avec ses clients dès ce mercredi, et est persuadée qu’ils n’en resteront pas là.
« on va pouvoir demander la saisine d'un juge d'instruction dès maintenant. On va le faire cette semaine où dans les jours. [...] On a eu depuis notre dépôt de plainte des parents adoptifs qui se sont rapprochés de nous, des cas d'adoption plus récents donc on va aussi les recevoir. Ils seraient susceptibles de porter d'autres plaintes pour des adoptions illégales au Mali ou ailleurs."
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