
La Gambie a finalement pu juger et condamner le trafiquant d’armes Wandy Simaga, qui avait réussi à s’échapper lors d’un contrôle policier à haut risque en septembre 2024. Les autorités gambiennes ont confirmé samedi que l’individu, arrêté une première fois à l’aéroport international de Banjul en possession d’armes et de matériel suspect, puis devenu fugitif, a été condamné par la justice.
L’affaire remonte au 28 septembre 2024 lorsque Simaga, intercepté par les services de sécurité avec deux pistolets, huit aérosols de défense et treize téléphones portables présumés être de la contrebande, avait mystérieusement réussi à prendre la fuite lors d’une opération de contrôle. Cet incident avait obligé les forces de l’ordre à lancer une vaste opération de recherche.
Après plusieurs mois de cavale, le suspect a finalement été appréhendé le 13 avril 2025 et présenté devant le tribunal de première instance de Brikama. Face à la justice, Simaga a dû répondre de deux chefs d’accusation graves : importation illégale d’armes à feu et détention non autorisée d’armes. Pour s’assurer de sa pleine compréhension des charges retenues contre lui, celles-ci lui ont été traduites en mandinka, après quoi il a choisi de plaider coupable.
Le verdict est tombé sans ambiguïté : le tribunal a prononcé deux amendes de 100 000 dalasis chacune (soit environ 1 400 dollars américains par amende), avec une alternative carcérale de deux ans de prison pour chaque infraction. Ces peines devant être purgées consécutivement, Simaga risque donc jusqu’à quatre années d’emprisonnement s’il ne parvient pas à s’acquitter des amendes. Par ailleurs, conformément à la législation en vigueur sur les armes et munitions, et sur réquisition du parquet, le tribunal a ordonné la confiscation définitive des armes saisies.
Les forces de police gambiennes ont exprimé leur satisfaction quant à l’issue de cette affaire, voyant dans cette condamnation une preuve tangible de leur détermination à lutter contre la criminalité transnationale. Elles ont réaffirmé par la même occasion leur engagement continu à garantir la sécurité du territoire national et de ses habitants contre toutes les formes de trafics illicites.
L’affaire remonte au 28 septembre 2024 lorsque Simaga, intercepté par les services de sécurité avec deux pistolets, huit aérosols de défense et treize téléphones portables présumés être de la contrebande, avait mystérieusement réussi à prendre la fuite lors d’une opération de contrôle. Cet incident avait obligé les forces de l’ordre à lancer une vaste opération de recherche.
Après plusieurs mois de cavale, le suspect a finalement été appréhendé le 13 avril 2025 et présenté devant le tribunal de première instance de Brikama. Face à la justice, Simaga a dû répondre de deux chefs d’accusation graves : importation illégale d’armes à feu et détention non autorisée d’armes. Pour s’assurer de sa pleine compréhension des charges retenues contre lui, celles-ci lui ont été traduites en mandinka, après quoi il a choisi de plaider coupable.
Le verdict est tombé sans ambiguïté : le tribunal a prononcé deux amendes de 100 000 dalasis chacune (soit environ 1 400 dollars américains par amende), avec une alternative carcérale de deux ans de prison pour chaque infraction. Ces peines devant être purgées consécutivement, Simaga risque donc jusqu’à quatre années d’emprisonnement s’il ne parvient pas à s’acquitter des amendes. Par ailleurs, conformément à la législation en vigueur sur les armes et munitions, et sur réquisition du parquet, le tribunal a ordonné la confiscation définitive des armes saisies.
Les forces de police gambiennes ont exprimé leur satisfaction quant à l’issue de cette affaire, voyant dans cette condamnation une preuve tangible de leur détermination à lutter contre la criminalité transnationale. Elles ont réaffirmé par la même occasion leur engagement continu à garantir la sécurité du territoire national et de ses habitants contre toutes les formes de trafics illicites.
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