
Cette fonctionnalité a été ajoutée à son application Arts & Culture. Elle permet également aux utilisateurs de traduire leurs propres mots et emojis en hiéroglyphes partageables.
Selon Google, Fabricius est le premier outil de ce type à permettre d'être formé par apprentissage automatique "pour donner un sens à ce qu'est un hiéroglyphe".
En théorie, il devrait s'améliorer avec le temps, à mesure que de plus en plus de personnes l'utilisent.
Les grandes revendications
Une version desktop de Fabricius est également proposée aux égyptologues, anthropologues et historiens professionnels, pour soutenir leurs recherches.
Un expert a salué l'initiative mais a déclaré que ses "grandes prétentions" devaient être considérées dans leur contexte.
"Bien qu'impressionnant, il n'est pas encore au point où il remplace le besoin d'un expert hautement qualifié dans la lecture des inscriptions anciennes", a déclaré le Dr Roland Enmarch, maître de conférences en égyptologie, à l'Université de Liverpool.
"Il reste de très gros obstacles à la lecture des hiéroglyphes, car ils sont tracés à la main et leur niveau de détail pictural varie énormément au fil du temps et selon les sculpteurs/peintres. Il n'en reste pas moins que c'est un pas en avant", a-t-il dit.
Selon Google, Fabricius est le premier outil de ce type à permettre d'être formé par apprentissage automatique "pour donner un sens à ce qu'est un hiéroglyphe".
En théorie, il devrait s'améliorer avec le temps, à mesure que de plus en plus de personnes l'utilisent.
Les grandes revendications
Une version desktop de Fabricius est également proposée aux égyptologues, anthropologues et historiens professionnels, pour soutenir leurs recherches.
Un expert a salué l'initiative mais a déclaré que ses "grandes prétentions" devaient être considérées dans leur contexte.
"Bien qu'impressionnant, il n'est pas encore au point où il remplace le besoin d'un expert hautement qualifié dans la lecture des inscriptions anciennes", a déclaré le Dr Roland Enmarch, maître de conférences en égyptologie, à l'Université de Liverpool.
"Il reste de très gros obstacles à la lecture des hiéroglyphes, car ils sont tracés à la main et leur niveau de détail pictural varie énormément au fil du temps et selon les sculpteurs/peintres. Il n'en reste pas moins que c'est un pas en avant", a-t-il dit.
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