Depuis mercredi, les syndicats du secteur de la Justice – SYTJUST et UNTJ – ont déclenché un mouvement de grève, exigeant principalement « l’alignement de l’ensemble des greffiers de la hiérarchie B2 à la hiérarchie A2, ainsi que le reclassement des agents des hiérarchies B et C ayant atteint un certain nombre d’années à la hiérarchie B2, selon des modalités qu’ils ont eux-mêmes définies ».
Dans un communiqué diffusé ce jeudi, le ministère de la Justice rappelle que, « conformément aux dispositions réglementaires en vigueur, et sous l’autorité du Premier ministre, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme du secteur public est compétent pour l’administration de l’ensemble des agents publics relevant du statut général des fonctionnaires, ainsi que des agents non fonctionnaires de l’État ».
Selon le ministère, les concertations entre la Justice et la Fonction publique ont abouti à un accord sur un « dispositif de formation spécifique, élaboré en collaboration avec le Centre de formation judiciaire », visant à valoriser l’expérience professionnelle des agents concernés. Ce programme sera la pièce maîtresse d’un reclassement réfléchi, en phase avec les aspirations syndicales.
Le communiqué précise que « le ministère de la Justice s’engage à conduire cette réforme dans un esprit de dialogue et de concertation, dans le respect des droits légitimes des agents de l’État et dans l’intérêt supérieur du service public de la Justice ». Une formule diplomatique qui montre la volonté de désamorcer le conflit tout en affirmant un cap.
Dans un communiqué diffusé ce jeudi, le ministère de la Justice rappelle que, « conformément aux dispositions réglementaires en vigueur, et sous l’autorité du Premier ministre, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme du secteur public est compétent pour l’administration de l’ensemble des agents publics relevant du statut général des fonctionnaires, ainsi que des agents non fonctionnaires de l’État ».
Selon le ministère, les concertations entre la Justice et la Fonction publique ont abouti à un accord sur un « dispositif de formation spécifique, élaboré en collaboration avec le Centre de formation judiciaire », visant à valoriser l’expérience professionnelle des agents concernés. Ce programme sera la pièce maîtresse d’un reclassement réfléchi, en phase avec les aspirations syndicales.
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