A quelques jours des examens de la première session du niveau universitaire, des menaces planent sur un probable boycott des surveillants. En effet, après le consensus trouvé entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants pour sauver l’année scolaire 2009. C’est le tour de l’association des jeunes docteurs et doctorants d’élever de la voix. En point de presse, ce jeudi 11 juin 2009, dans les locaux du rectorat de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, les enseignants vacataires du Supérieur exigent le paiement des trois trimestres de l’année 2009 dans la semaine à venir. Faute de quoi, ils boycottent «la surveillance des examens de la première session du mois de juin, la correction des copies et probablement un refus de rendre les notes». Déterminés à aller jusqu’au bout de leur revendication, ils ont fait savoir aux journalistes : «vu notre nombre et notre détermination à être payé, nous paralyserons le déroulement des examens».
Par ailleurs, l'association des jeunes docteurs et doctorants lance un nouvel appel à l'Etat à propos d’un recrutement conséquent d’enseignants par rapport à la massification des étudiants. «Cette demande est le point crucial et névralgique de notre combat. Et là-dessus, nous ne saurions reculer d'un iota. Nous sommes des Sénégalais et à l'instar de tous les Sénégalais, nous avons droit à un statut professionnel stable et sécurisé, martèlent les jeunes docteurs et doctorants», a-t-elle soutenu.
Pire encore, ont révélé les docteurs et doctorants, dans les autres universités comme le CUR de Bambey ou l’Université de Thiès, nos collègues attendent les sommes dues depuis l’année académique 2007-2008. Ils ont, aussi, dénoncé «l'injustice et le manque de respect que subissent leurs camarades. Nous dispensons correctement nos cours et de la manière la plus professionnelle possible».
Les enseignants vacataires du supérieur ont exigé des autorités académiques et étatiques, le dénouement diligent de «l'iniquité qui nous frappe depuis l'entame de l'année». Et de préciser " ce que nous réclamons est un droit qui n'a pas besoin d'être explicité, car tout travail mérite un salaire».
Par ailleurs, l'association des jeunes docteurs et doctorants lance un nouvel appel à l'Etat à propos d’un recrutement conséquent d’enseignants par rapport à la massification des étudiants. «Cette demande est le point crucial et névralgique de notre combat. Et là-dessus, nous ne saurions reculer d'un iota. Nous sommes des Sénégalais et à l'instar de tous les Sénégalais, nous avons droit à un statut professionnel stable et sécurisé, martèlent les jeunes docteurs et doctorants», a-t-elle soutenu.
Pire encore, ont révélé les docteurs et doctorants, dans les autres universités comme le CUR de Bambey ou l’Université de Thiès, nos collègues attendent les sommes dues depuis l’année académique 2007-2008. Ils ont, aussi, dénoncé «l'injustice et le manque de respect que subissent leurs camarades. Nous dispensons correctement nos cours et de la manière la plus professionnelle possible».
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