S'exprimant à l'issue du mini-sommet de l'Union du fleuve Mano, il a précisé que ce déploiement a pour but de sécuriser la Guinée et ses voisins dont aucun ne sera attaqué à partir du territoire guinéen.
«Pour une paix et une stabilité durables dans nos pays, en plus de la justice sociale qu'il nous faut promouvoir, il nous faut comprendre la soif de démocratie et de liberté de nos populations", a-t-il déclaré.
«Si nos frontières, héritées de notre histoire, demeurent un obstacle à notre intégration totale, elles ne s'imposent guère à notre âme africaine et tomberont un jour quand la nation africaine naîtra», a ajouté le général Konaté.
Selon lui, le mini-sommet de Conakry a marqué un tournant décisif dans la vie de l'Union du fleuve Mano qui est «un modèle original et réussi d'intégration sous-régionale et une raison d'espérer, de croire en notre avenir qui passe par une unité d'action et de solidarité entre nos pays».
La rencontre s'est déroulée en présence des présidents du Liberia, Mme Ellen Johnson Sireleaf, et de la Sierra Leone, Ernest Baï Koroma.
Le président ivoirien Laurent Gbagbo, dont le pays est membre de l'Union depuis 2008, n'a pas assisté à la rencontre.
Les chefs d'Etat participants ont décidé de porter le budget de l'organisation à 2,8 millions de dollars américains et ont nommé le Guinéen Habib Diallo au poste de secrétaire général.
Créée en 1973, l'Union du fleuve Mano regroupe le Libéria, la Sierra Leone, les deux membres fondateurs, la Guinée, qui a adhéré en 1980, et la Côte d'Ivoire.
L'organisation qui tire son nom du fleuve Mano a pour mission de renforcer la coopération et d'intégration des pays membres.
«Pour une paix et une stabilité durables dans nos pays, en plus de la justice sociale qu'il nous faut promouvoir, il nous faut comprendre la soif de démocratie et de liberté de nos populations", a-t-il déclaré.
«Si nos frontières, héritées de notre histoire, demeurent un obstacle à notre intégration totale, elles ne s'imposent guère à notre âme africaine et tomberont un jour quand la nation africaine naîtra», a ajouté le général Konaté.
Selon lui, le mini-sommet de Conakry a marqué un tournant décisif dans la vie de l'Union du fleuve Mano qui est «un modèle original et réussi d'intégration sous-régionale et une raison d'espérer, de croire en notre avenir qui passe par une unité d'action et de solidarité entre nos pays».
La rencontre s'est déroulée en présence des présidents du Liberia, Mme Ellen Johnson Sireleaf, et de la Sierra Leone, Ernest Baï Koroma.
Le président ivoirien Laurent Gbagbo, dont le pays est membre de l'Union depuis 2008, n'a pas assisté à la rencontre.
Les chefs d'Etat participants ont décidé de porter le budget de l'organisation à 2,8 millions de dollars américains et ont nommé le Guinéen Habib Diallo au poste de secrétaire général.
Créée en 1973, l'Union du fleuve Mano regroupe le Libéria, la Sierra Leone, les deux membres fondateurs, la Guinée, qui a adhéré en 1980, et la Côte d'Ivoire.
L'organisation qui tire son nom du fleuve Mano a pour mission de renforcer la coopération et d'intégration des pays membres.
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