L'entente entre Wade et Dadis Camara risque de mettre le feu aux poudres
L’organisme de défense des droits de l’homme en Afrique exprimant ses vives préoccupations, a mis en garde contre le comportement de certains nationaux guinéens prennent les sénégalais comme responsables et coupables du comportement, des propos, voire du "soutien" de la candidature de Dadis par le président sénégalais, Abdoulaye Wade.
A en croire, les dirigeants de l’organisation, les périodes de crises en Afrique, la tentation est grande de considérer les étrangers et autres groupes vulnérables comme des boucs émissaires.
Par conséquent, la Raddho met en garde contre des comportements susceptibles de nourrir la haine, la discorde et la violence entre les populations ouest africaines.
La Raddho condamne tout propos, attitude ou comportement susceptibles d’entrainer des dérives difficiles à contrôler entre les populations sénégalaises et guinéennes qui, non seulement sont naturellement unies, par l’histoire et la géographie mais partagent aussi des liens séculaires basés sur le sang, sur la culture, la religion et les langues. Car poursuit-elle "elles sont de ce fait même condamnées à vivre ensemble dans la paix, la tolérance et la fraternité".
Toutefois, l’organisation de protection des droits de l’homme appelle la société civile guinéenne à mener une campagne de sensibilisation pour renforcer l’unité, la solidarité et la tolérance entre les populations ouest africaines vivant en Guinée. Si toute protestation devant l’ambassade du Séné contre le Président Wade peut être justifiée, elle ne saurait se faire non plus dans la violence.
Elle a invité solennellement le président Abdoulaye Wade , leader africain dont la voix porte dans la sous région et sur le continent à s’inscrire dans la tradition démocratique sénégalaise pour condamner sans ambiguïté les coups d’Etat militaires ou civils et à se démarquer nettement des leaders militaires africains ou civils, qui cherchent à se légitimer par élections.
L’organisation estime qu’il est temps pour le président Wade de se débarrasser définitivement de l’image de souteneur de coups d’Etat militaires ou civils, très prégnante dans l’opinion africaine.
A en croire, les dirigeants de l’organisation, les périodes de crises en Afrique, la tentation est grande de considérer les étrangers et autres groupes vulnérables comme des boucs émissaires.
Par conséquent, la Raddho met en garde contre des comportements susceptibles de nourrir la haine, la discorde et la violence entre les populations ouest africaines.
La Raddho condamne tout propos, attitude ou comportement susceptibles d’entrainer des dérives difficiles à contrôler entre les populations sénégalaises et guinéennes qui, non seulement sont naturellement unies, par l’histoire et la géographie mais partagent aussi des liens séculaires basés sur le sang, sur la culture, la religion et les langues. Car poursuit-elle "elles sont de ce fait même condamnées à vivre ensemble dans la paix, la tolérance et la fraternité".
Toutefois, l’organisation de protection des droits de l’homme appelle la société civile guinéenne à mener une campagne de sensibilisation pour renforcer l’unité, la solidarité et la tolérance entre les populations ouest africaines vivant en Guinée. Si toute protestation devant l’ambassade du Séné contre le Président Wade peut être justifiée, elle ne saurait se faire non plus dans la violence.
Elle a invité solennellement le président Abdoulaye Wade , leader africain dont la voix porte dans la sous région et sur le continent à s’inscrire dans la tradition démocratique sénégalaise pour condamner sans ambiguïté les coups d’Etat militaires ou civils et à se démarquer nettement des leaders militaires africains ou civils, qui cherchent à se légitimer par élections.
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