
Le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall a salué les « décisions fortes » prises par la CEDEAO pour « exiger le rétablissement de l’ordre constitutionnel » en Guinée et au Mali. Il a pris part dimanche à Accra, au Ghana, au sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la situation en République de Guinée et en République du Mali.
« Je salue les décisions fortes prises par l’organisation pour exiger le rétablissement de l’ordre constitutionnel dans les deux pays », a déclaré le chef de l’Etat sur son compte twitter. Dans la capitale ghanéenne, les dirigeants de la CEDEAO ont décidé de durcir les sanctions individuelles contre les autorités malienne et guinéenne.
Concernant la Guinée, les chefs d’Etat ont exigé la libération du président Alpha Condé et la tenue d’élections dans une période de 6 mois.En Guinée, une junte militaire dirigée par le Colonel Mamadi Doumbouya a renversé, 5 septembre, le régime du président Alpha Condé.
Elle a annoncé, le 4 novembre, la formation complète d’un gouvernement dirigé par le Premier ministre Mohamed Béavogui. Au Mali, les autorités de la transition ne sont plus dans les dispositions pour organiser des élections présidentielle et législatives en février comme initialement prévu. Elles prévoient d’organiser des ’’assises nationales’’ au préalable.
« Je salue les décisions fortes prises par l’organisation pour exiger le rétablissement de l’ordre constitutionnel dans les deux pays », a déclaré le chef de l’Etat sur son compte twitter. Dans la capitale ghanéenne, les dirigeants de la CEDEAO ont décidé de durcir les sanctions individuelles contre les autorités malienne et guinéenne.
Concernant la Guinée, les chefs d’Etat ont exigé la libération du président Alpha Condé et la tenue d’élections dans une période de 6 mois.En Guinée, une junte militaire dirigée par le Colonel Mamadi Doumbouya a renversé, 5 septembre, le régime du président Alpha Condé.
Elle a annoncé, le 4 novembre, la formation complète d’un gouvernement dirigé par le Premier ministre Mohamed Béavogui. Au Mali, les autorités de la transition ne sont plus dans les dispositions pour organiser des élections présidentielle et législatives en février comme initialement prévu. Elles prévoient d’organiser des ’’assises nationales’’ au préalable.
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