C'est le commandant de la troisième région militaire, le général Leon Mushalé, qui a fait cette mise au point. Concernant les circonstances du double crash, les deux hélicoptères menaient une patrouille de routine et se seraient écrasés coup sur coup à cause d'un « tourbillon » de vent entre deux montagnes, affirme le général qui insiste : « Ils n’ont pas été attaqués ».
Sultani Makenga, l'un des chefs du M23 se trouve alors dans les parages, sur les flancs du mont Mikeno, avec ses hommes. Le chef rebelle envoie des éléments sur le site du 2e crash ou il capture quatre membres d'équipage encore en vie. Le surlendemain, les FARDC découvrent la position des M23 et un accrochage éclate. Makenga et ses hommes prennent la fuite et quatre éléments M23 sont tués dans l'assaut. Un jeune combattant est capturé.
Les militaires découvrent trois corps débarrassés de leurs uniformes. Trois hommes qui selon le général Mushalé ont été torturés et tués par Makenga. Dans sa fuite Makenga aurait emmené le 4e membre d'équipage. A un journaliste cherchant à savoir si un pilote russe se trouvait à bord de l'hélicoptère, le général répond que le fabricant fournit les services « d'instructeur », mais il n'en précise pas la nationalité. Contactée par RFI l'ambassade de Russie à Kinshasa dément la présence de citoyen russe dans ces hélicoptères. De source diplomatique, l’ « instructeur » étranger aux mains du M23 serait géorgien.
Sultani Makenga, l'un des chefs du M23 se trouve alors dans les parages, sur les flancs du mont Mikeno, avec ses hommes. Le chef rebelle envoie des éléments sur le site du 2e crash ou il capture quatre membres d'équipage encore en vie. Le surlendemain, les FARDC découvrent la position des M23 et un accrochage éclate. Makenga et ses hommes prennent la fuite et quatre éléments M23 sont tués dans l'assaut. Un jeune combattant est capturé.
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