Les affrontements meurtriers ont opposé des membres des communautés peules, majoritairement composées d'éleveurs, et Bambaras, principalement des agriculteurs et des chasseurs. Les rivalités entre ces communautés sont récurrentes pour des questions d'accès aux ressources naturelles. Elles pourraient également être alimentées par la présence dans la zone du Front de libération du Macina, un groupe islamiste et nationaliste peul.
Une mission gouvernementale malienne a été envoyée sur place pour tenter d'apaiser la situation. La mission des Nations unies dans le pays est également mobilisée. « Nous avons dépêché une mission qui comprend les droits de l’homme et les affaires civiles pour comprendre les faits et également faire une enquête sur les aspects droits de l’homme parce qu’on comprend qu’il y a eu plusieurs victimes à ces violences tragiques », explique Radhia Achouri, porte-parole de la Minusma.
Quant à l’intervention de casques bleus pour assurer la sécurité des populations, la porte-parole indique que « pour l’instant les autorités maliennes sont totalement en charge du dossier ». Mais elle précise : « Nous sommes prêts à accorder tout soutien supplémentaire à la demande expresse du gouvernement malien. »
En plus des morts, ces affrontements ont provoqué des déplacements de populations, principalement peules, qui fuient les violences.
Source:Rfi.fr
Une mission gouvernementale malienne a été envoyée sur place pour tenter d'apaiser la situation. La mission des Nations unies dans le pays est également mobilisée. « Nous avons dépêché une mission qui comprend les droits de l’homme et les affaires civiles pour comprendre les faits et également faire une enquête sur les aspects droits de l’homme parce qu’on comprend qu’il y a eu plusieurs victimes à ces violences tragiques », explique Radhia Achouri, porte-parole de la Minusma.
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