Davantage de répression et un plan B pour délocaliser ses demandeurs d’asile, voilà comment le gouvernement britannique ouvre cette semaine sur le dossier migratoire.
Sur le plan légal : les amendes vont tripler pour les patrons qui emploient des migrants arrivés illégalement – pour atteindre jusqu’à 50 000 euros –, et pour les propriétaires immobiliers qui louent leurs biens à des personnes qui n’ont pas le droit de séjour sur le sol britannique – atteignant jusqu’à 25 000 euros par occupant. Le gouvernement veut ainsi restreindre encore l’accès au travail (même non déclaré) et au logement pour les personnes arrivées clandestinement.
Autre élément de cette stratégie de dissuasion : le ministère de l’Intérieur se prépare à envoyer ses demandeurs d’asile sur l’île de l’Ascension, territoire de l’Atlantique Sud proche de Sainte-Hélène, le temps d’examiner leur demande. Ce plan de secours est prévu au cas où la justice invaliderait le partenariat migratoire polémique de délocalisation au Rwanda.
Le mois dernier, le Parlement a adopté une loi visant déjà à largement restreindre l’éligibilité au droit d’asile, un texte critiqué notamment par les Nations unies. Autre sujet de critiques et polémiques, tant du côté des ONG que des habitants pas toujours ravis de voir son installation dans le port, la barge Bibby Stockholm à Portland. Les premiers demandeurs d'asile sont arrivés sur le « navire » ce lundi matin. Le bateau devrait arriver « à capacité » d'ici à la fin de semaine. Avec cette barge-caserne qui pourrait héberger jusqu’à 500 migrants, Londres veut faire des économies et dissuader les candidats à l’asile.
Sur le plan légal : les amendes vont tripler pour les patrons qui emploient des migrants arrivés illégalement – pour atteindre jusqu’à 50 000 euros –, et pour les propriétaires immobiliers qui louent leurs biens à des personnes qui n’ont pas le droit de séjour sur le sol britannique – atteignant jusqu’à 25 000 euros par occupant. Le gouvernement veut ainsi restreindre encore l’accès au travail (même non déclaré) et au logement pour les personnes arrivées clandestinement.
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