Le processus retenu est le porte-à-porte, avec la présence physique exigée des personnes à recenser. Même si tout se passe plutôt bien, l'absence des chefs de ménage pendant les heures de travail ne facilite pas le travail des agents recenseurs.
Le porte-à-porte se poursuit et le bilan est satisfaisant pour cette première semaine, comme le confirme Ibrahim, qui a en charge le quartier Route Filingué de Niamey : « En moyenne, 15 ménages sont recensés par jour. Et les 15 ménages, c’est entre 38 à 40 personnes. »
Soumana est père de famille, il est heureux d’être recensé : « Parce qu’avec ce recensement j’aurai droit à une carte électorale qui me permettra de choisir les personnes en qui j’ai confiance pour diriger les affaires politiques et administratives de mon pays », dit-il.
Principale difficulté, l’absence du chef de ménage à certaines heures pour une opération qui exige sa présence physique. La seule exception concerne les fonctionnaires de l’Etat : « Sur la base de leur ordre de mission, on peut les recenser. En dehors de ce cas-là, il faut la présence physique », précise Ibrahim.
Pour s’assurer de la qualité du travail, les agents contrôleurs effectuent des visites surprises. Son en fait partie : « On assiste directement au remplissage. Si on constate qu’il y a des déphasages par rapport à ce qu’il faut faire, on leur demande d’arrêter et on leur explique de nouveau comment il faut faire », relate-t-il.
RFI
Le porte-à-porte se poursuit et le bilan est satisfaisant pour cette première semaine, comme le confirme Ibrahim, qui a en charge le quartier Route Filingué de Niamey : « En moyenne, 15 ménages sont recensés par jour. Et les 15 ménages, c’est entre 38 à 40 personnes. »
Soumana est père de famille, il est heureux d’être recensé : « Parce qu’avec ce recensement j’aurai droit à une carte électorale qui me permettra de choisir les personnes en qui j’ai confiance pour diriger les affaires politiques et administratives de mon pays », dit-il.
Principale difficulté, l’absence du chef de ménage à certaines heures pour une opération qui exige sa présence physique. La seule exception concerne les fonctionnaires de l’Etat : « Sur la base de leur ordre de mission, on peut les recenser. En dehors de ce cas-là, il faut la présence physique », précise Ibrahim.
Pour s’assurer de la qualité du travail, les agents contrôleurs effectuent des visites surprises. Son en fait partie : « On assiste directement au remplissage. Si on constate qu’il y a des déphasages par rapport à ce qu’il faut faire, on leur demande d’arrêter et on leur explique de nouveau comment il faut faire », relate-t-il.
RFI
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