Vingt-quatre heures après les incidents survenus lors du match entre Jaraaf et l'USM Alger au Stade Abdoulaye Wade de Dakar, les responsables de l'équipe de la capitale ont tenu à réagir. Dans un communiqué daté du lundi 9 décembre, l'AS Jaraaf a cherché à rétablir la vérité sur les faits. Dans cette note parvenue à PressAfrik, les dirigeants de l'équipe ont dénoncé "des articles tendancieux et commandités publiés sur certains sites, qui ont déformé la réalité des faits". Ils ont rappelé un principe cher au fondateur du journal Le Monde : "Les faits sont sacrés, le commentaire est libre".
Vingt-quatre heures après les incidents survenus lors du match entre Jaraaf et l'USM Alger au Stade Abdoulaye Wade de Dakar, les responsables de l'équipe de la capitale ont tenu à réagir. Dans un communiqué daté du lundi 9 décembre, l'AS Jaraaf a cherché à rétablir la vérité sur les faits. Dans cette note parvenue à PressAfrik, les dirigeants de l'équipe ont dénoncé "des articles tendancieux et commandités publiés sur certains sites, qui ont déformé la réalité des faits". Ils ont rappelé un principe cher au fondateur du journal Le Monde : "Les faits sont sacrés, le commentaire est libre".
La note précise d’emblée qu'un schéma organisationnel avait été envoyé à la Confédération Africaine de Football (CAF), stipulant clairement l'emplacement des supporters de l'USM Alger, à savoir les portes 131, 132 et 133. Cette disposition a été confirmée lors de la réunion technique.
Les dirigeants du Jaraaf poursuivant leur argumentaire ont déclaré : "Suite à cette réunion, et en présence du commissaire Demba Sarr, du président de l'USM Alger et de M. Freeman, il a été finalement décidé de réassigner les supporters aux portes 129, 130 et 131, sous la surveillance des Forces de défense et de sécurité (FDS). Malheureusement, dès leur arrivée au stade, les supporters algériens ont ignoré ces directives, en dépit des recommandations de la police."
Les responsables de l'AS Jaraaf d'ajouter : "Dès le coup d'envoi, ils ont déployé leur banderole et allumé des fumigènes, qu'ils avaient dissimulés dans des béquilles, leur permettant ainsi de contourner les contrôles de sécurité. Cela a engendré une situation de défiance et d'insultes à l'encontre des forces de sécurité, qui a perduré jusqu'à la fin du match. Après le coup de sifflet final, ce même esprit de violence, de défiance et de chahuts s'est maintenu, contraignant les forces de sécurité à encadrer les supporters pour qu'ils quittent le stade dans le calme."
"Non contents de cette situation, ils ont déclenché une bagarre avec les forces de l'ordre et ont manifesté une réelle volonté d'attaquer les supporters du Jaraaf, retenus par les forces de sécurité. S'en est suivie une scène de défiance, de sabotage et de destruction des sièges et panneaux LED situés sous leur tribune. Ils ont ensuite vandalisé des boxes (voir images)", a conclu la note.
Vingt-quatre heures après les incidents survenus lors du match entre Jaraaf et l'USM Alger au Stade Abdoulaye Wade de Dakar, les responsables de l'équipe de la capitale ont tenu à réagir. Dans un communiqué daté du lundi 9 décembre, l'AS Jaraaf a cherché à rétablir la vérité sur les faits. Dans cette note parvenue à PressAfrik, les dirigeants de l'équipe ont dénoncé "des articles tendancieux et commandités publiés sur certains sites, qui ont déformé la réalité des faits". Ils ont rappelé un principe cher au fondateur du journal Le Monde : "Les faits sont sacrés, le commentaire est libre".
La note précise d’emblée qu'un schéma organisationnel avait été envoyé à la Confédération Africaine de Football (CAF), stipulant clairement l'emplacement des supporters de l'USM Alger, à savoir les portes 131, 132 et 133. Cette disposition a été confirmée lors de la réunion technique.
Les dirigeants du Jaraaf poursuivant leur argumentaire ont déclaré : "Suite à cette réunion, et en présence du commissaire Demba Sarr, du président de l'USM Alger et de M. Freeman, il a été finalement décidé de réassigner les supporters aux portes 129, 130 et 131, sous la surveillance des Forces de défense et de sécurité (FDS). Malheureusement, dès leur arrivée au stade, les supporters algériens ont ignoré ces directives, en dépit des recommandations de la police."
Les responsables de l'AS Jaraaf d'ajouter : "Dès le coup d'envoi, ils ont déployé leur banderole et allumé des fumigènes, qu'ils avaient dissimulés dans des béquilles, leur permettant ainsi de contourner les contrôles de sécurité. Cela a engendré une situation de défiance et d'insultes à l'encontre des forces de sécurité, qui a perduré jusqu'à la fin du match. Après le coup de sifflet final, ce même esprit de violence, de défiance et de chahuts s'est maintenu, contraignant les forces de sécurité à encadrer les supporters pour qu'ils quittent le stade dans le calme."
"Non contents de cette situation, ils ont déclenché une bagarre avec les forces de l'ordre et ont manifesté une réelle volonté d'attaquer les supporters du Jaraaf, retenus par les forces de sécurité. S'en est suivie une scène de défiance, de sabotage et de destruction des sièges et panneaux LED situés sous leur tribune. Ils ont ensuite vandalisé des boxes (voir images)", a conclu la note.