La vidéo d'un braquage filmé par des amateurs dans la capitale Libreville a choqué tout le Gabon et contraint la police à réagir face à cette montée de l'insécurité.
La vidéo filmée par des enfants depuis leur terrasse montre une scène digne d’un film de western. En pleine journée, six jeunes hommes de 17 à 20 ans bloquent la circulation sur la voie expresse, le boulevard le plus rapide de Libreville, la capitale gabonaise.
L'un d’entre eux se couche sur la chaussée. Les véhicules s’immobilisent. Ses camarades commencent alors à ouvrir les portières pour arracher les sacs et les téléphones.
Les images ont fait le tour des réseaux sociaux. La police, échaudée par cette provocation, a mobilisé plusieurs unités. En une nuit, vingt braqueurs présumés, dont les six aperçus dans la vidéo, ont été arrêtés. L'un d'entre eux a été retrouvé avec un pistolet automatique et des cartouches qu’il affirme avoir volées dans la voiture d’un ministre.
Après l’arrestation de ce gang, la police est descendue dans plusieurs quartiers pour démolir les maquis, considérés comme des repères de bandits. Depuis quelques jours, policiers et gendarmes ont cessé les contrôles de routine. Ils auraient reçu la mission de nettoyer la ville des criminels qui terrorisent la population.
La vidéo filmée par des enfants depuis leur terrasse montre une scène digne d’un film de western. En pleine journée, six jeunes hommes de 17 à 20 ans bloquent la circulation sur la voie expresse, le boulevard le plus rapide de Libreville, la capitale gabonaise.
L'un d’entre eux se couche sur la chaussée. Les véhicules s’immobilisent. Ses camarades commencent alors à ouvrir les portières pour arracher les sacs et les téléphones.
Les images ont fait le tour des réseaux sociaux. La police, échaudée par cette provocation, a mobilisé plusieurs unités. En une nuit, vingt braqueurs présumés, dont les six aperçus dans la vidéo, ont été arrêtés. L'un d'entre eux a été retrouvé avec un pistolet automatique et des cartouches qu’il affirme avoir volées dans la voiture d’un ministre.
Après l’arrestation de ce gang, la police est descendue dans plusieurs quartiers pour démolir les maquis, considérés comme des repères de bandits. Depuis quelques jours, policiers et gendarmes ont cessé les contrôles de routine. Ils auraient reçu la mission de nettoyer la ville des criminels qui terrorisent la population.
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