Désormais, une autorisation écrite est nécessaire pour tout reportage réalisé depuis un site touché par un missile ou une zone de combats. En particulier les diffusions en direct qui pourraient permettre aux services iraniens d’obtenir des informations en temps réel sur la précision de leurs tirs. Les mesures visent notamment les caméras fixes installées par des agences de presse ou des chaînes de télévision, israéliennes comme étrangères, qui diffusent leurs images 24h/24.
Un problème d’autant plus sensible pour les autorités israéliennes lorsqu’il s’agit de sites militaires. Le censeur militaire estime que le non-respect de cette directive est « susceptible de nuire gravement à la sécurité de l'État ». Il prévient que tout contrevenant sera poursuivi.
Un problème d’autant plus sensible pour les autorités israéliennes lorsqu’il s’agit de sites militaires. Le censeur militaire estime que le non-respect de cette directive est « susceptible de nuire gravement à la sécurité de l'État ». Il prévient que tout contrevenant sera poursuivi.
Autres articles
-
Italie: la justice soupçonne plusieurs marques de luxe d’exploiter des travailleurs migrants
-
Sous fortes pressions militaire et politique, l'Ukraine négocie aux États-Unis
-
Palestine: quand des objets ordinaires deviennent des symboles de résistance
-
États-Unis: après les tirs près de la Maison Blanche, Trump dénonce un «acte de terrorisme»
-
Au moins 13 morts dans l’incendie d’un complexe résidentiel à Hong Kong





Italie: la justice soupçonne plusieurs marques de luxe d’exploiter des travailleurs migrants


