Un homme de 42 ans a été inculpé ce vendredi au Japon. Il est soupçonné de l’assassinat de l’ancien Premier ministre japonais en juillet dernier.
Des procureurs japonais ont inculpé l’homme soupçonné de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Shinzo Abe en juillet dernier. Le suspect a été déclaré apte à être jugé après une longue expertise psychiatrique, ont rapporté ce vendredi plusieurs médias nippons.
Poursuivi notamment pour meurtre, Tetsuya Yamagami, 42 ans, avait été arrêté immédiatement après les faits à Nara, à l’ouest du Japon. C’est ici que l’ancien dirigeant japonais prononçait un discours lors d’un meeting électoral lorsqu’il a été abattu par balles.
À l’époque, le suspect affirmait à la police avoir servi dans la Force d’autodéfense maritime, la marine japonaise, pendant trois ans à partir de 2002. Plus récemment, il avait travaillé dans une usine de l’ouest du Japon pendant environ un an et demi, avant de démissionner.
« Le suspect a déclaré qu’il en voulait à une certaine organisation et qu’il avait commis le crime parce qu’il pensait que l’ancien Premier ministre Abe avait un lien avec celle-ci », commenta la police. La famille de Tetsuya Yamagami avait connu des difficultés en raison des dons de sa mère à l’organisation.
Des procureurs japonais ont inculpé l’homme soupçonné de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Shinzo Abe en juillet dernier. Le suspect a été déclaré apte à être jugé après une longue expertise psychiatrique, ont rapporté ce vendredi plusieurs médias nippons.
Poursuivi notamment pour meurtre, Tetsuya Yamagami, 42 ans, avait été arrêté immédiatement après les faits à Nara, à l’ouest du Japon. C’est ici que l’ancien dirigeant japonais prononçait un discours lors d’un meeting électoral lorsqu’il a été abattu par balles.
À l’époque, le suspect affirmait à la police avoir servi dans la Force d’autodéfense maritime, la marine japonaise, pendant trois ans à partir de 2002. Plus récemment, il avait travaillé dans une usine de l’ouest du Japon pendant environ un an et demi, avant de démissionner.
« Le suspect a déclaré qu’il en voulait à une certaine organisation et qu’il avait commis le crime parce qu’il pensait que l’ancien Premier ministre Abe avait un lien avec celle-ci », commenta la police. La famille de Tetsuya Yamagami avait connu des difficultés en raison des dons de sa mère à l’organisation.
Autres articles
-
Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja





Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel


