
Le Collectif des Victimes du régime du Président Macky SALL indique dans un communiqué avoir saisie le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme pour une intervention d'urgence afin que les autorités puissent ouvrir des enquêtes concernant ses crimes de sang, politiques et économiques.
« Nous, collectif des victimes de répression, de tueries, de disparitions, et de forcés à l'exil, par le régime répressif de l'ancien Président du Sénégal Macky SALL, venons par cette présente vous saisir pour une intervention d'urgence aux fins de l'ouverture d'une enquête sur ses crimes et exactions commis durant son règne. En effet, le régime du Président Macky SALL a été fatal pour la population sénégalaise et de la diaspora. D'ailleurs, la répression durant son règne a coûté la vie à plus de 80 personnes, sans compter les milliers de jeunes disparus en Méditerranée suite aux menaces et aux persécutions qui les a forcés à risquer leur vie en mer », lit-on sur le communiqué.
Ainsi, poursuit le document « ce système diabolique de gouvernance fondé sur la terreur, la torture, les arrestations et détentions arbitraires des crimes et actes cruels portés sur l'intégrité physique et psychologique des populations non armées et sans défense constituent des actes de crimes contre l'humanité conformément à l'article 7 du Statut de Rome créant la Cour Pénale Internationale ».
« Nous, collectif des victimes de répression, de tueries, de disparitions, et de forcés à l'exil, par le régime répressif de l'ancien Président du Sénégal Macky SALL, venons par cette présente vous saisir pour une intervention d'urgence aux fins de l'ouverture d'une enquête sur ses crimes et exactions commis durant son règne. En effet, le régime du Président Macky SALL a été fatal pour la population sénégalaise et de la diaspora. D'ailleurs, la répression durant son règne a coûté la vie à plus de 80 personnes, sans compter les milliers de jeunes disparus en Méditerranée suite aux menaces et aux persécutions qui les a forcés à risquer leur vie en mer », lit-on sur le communiqué.
Ainsi, poursuit le document « ce système diabolique de gouvernance fondé sur la terreur, la torture, les arrestations et détentions arbitraires des crimes et actes cruels portés sur l'intégrité physique et psychologique des populations non armées et sans défense constituent des actes de crimes contre l'humanité conformément à l'article 7 du Statut de Rome créant la Cour Pénale Internationale ».
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