Le Cercle des Cadres de la République des Valeurs (CECAR) exprime son indignation et sa profonde inquiétude après la mise en demeure adressée par le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) à TFM suite à l’émission Jakaarlo.
Dans une déclaration rendue publique, le CECAR dénonce une « tentative flagrante d’intimidation médiatique, qui s’inscrit dans une logique de restriction de la liberté d’expression ».
Pour les cadres de RV, le CNRA, censé être une autorité indépendante et impartiale, semble avoir choisi son camp : « celui du pouvoir en place, au détriment de la vérité, du débat public et de l’équilibre démocratique ».
D'après le CECAR, aucun manquement professionnel ou éthique n’a été constaté dans les propos du chroniqueur Badara Gadiaga. « Il s’est contenté de commenter deux décisions de justice, dans le cadre d’un débat public légitime », précise-t-il, ajoutant que « ce qu’il a dit relève du droit fondamental à la liberté d’opinion, garanti par l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme, par l’article 8 de la Constitution sénégalaise et par le Code de la presse, qui reconnaît aux journalistes le droit d’analyser, de critiquer et de questionner les institutions et leurs représentants ».
Selon les cadres de la République des Valeurs, le rôle du CNRA n’est pas d’être le procureur d’un parti politique, quel qu’il soit. Son rôle, disent-t-ils, est d’assurer un « espace médiatique équilibré, libre et responsable, dans le respect des règles d’éthique journalistique, telles que définies par la Charte de Munich (1971) et le Code de déontologie de la presse sénégalaise. Cela suppose d’écouter toutes les voix, même celles qui dérangent ».
Toutefois, le CECAR lance un appel à tous les citoyens, à la société civile, aux journalistes, aux enseignants, aux jeunes, aux travailleurs : « ne laissons pas faire. Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas seulement une émission, mais notre capacité à dire ce que nous pensons, à critiquer ce qui ne va pas, à exiger des comptes de ceux qui nous gouvernent. C’est un droit, pas un privilège ».
Enfin, les cadres de RV réaffirment leur soutien total aux acteurs des médias, qui selon eux, exercent leur « métier avec courage et intégrité, » malgré les « pressions et les menaces ». D’après le CECAR, ils sont la « conscience vivante de notre démocratie, et nous serons toujours à leurs côtés ».
Dans une déclaration rendue publique, le CECAR dénonce une « tentative flagrante d’intimidation médiatique, qui s’inscrit dans une logique de restriction de la liberté d’expression ».
Pour les cadres de RV, le CNRA, censé être une autorité indépendante et impartiale, semble avoir choisi son camp : « celui du pouvoir en place, au détriment de la vérité, du débat public et de l’équilibre démocratique ».
D'après le CECAR, aucun manquement professionnel ou éthique n’a été constaté dans les propos du chroniqueur Badara Gadiaga. « Il s’est contenté de commenter deux décisions de justice, dans le cadre d’un débat public légitime », précise-t-il, ajoutant que « ce qu’il a dit relève du droit fondamental à la liberté d’opinion, garanti par l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme, par l’article 8 de la Constitution sénégalaise et par le Code de la presse, qui reconnaît aux journalistes le droit d’analyser, de critiquer et de questionner les institutions et leurs représentants ».
Selon les cadres de la République des Valeurs, le rôle du CNRA n’est pas d’être le procureur d’un parti politique, quel qu’il soit. Son rôle, disent-t-ils, est d’assurer un « espace médiatique équilibré, libre et responsable, dans le respect des règles d’éthique journalistique, telles que définies par la Charte de Munich (1971) et le Code de déontologie de la presse sénégalaise. Cela suppose d’écouter toutes les voix, même celles qui dérangent ».
Toutefois, le CECAR lance un appel à tous les citoyens, à la société civile, aux journalistes, aux enseignants, aux jeunes, aux travailleurs : « ne laissons pas faire. Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas seulement une émission, mais notre capacité à dire ce que nous pensons, à critiquer ce qui ne va pas, à exiger des comptes de ceux qui nous gouvernent. C’est un droit, pas un privilège ».
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