«On a assumé notre acte tout en précisant que nous ne voulions pas manquer de respect à la loi africaine mais nous voulons attaquer un symbole, le symbole de la servitude volontaire présente au sein d’une partie de nos élites. Le symbole de l’impérialisme monétaire qui ne dit pas son nom», déclare l’activiste, Kémi Séba qui soutient avoir «agi avec force et conviction».
Revenant sur son arrestation, le polémiste d’informer qu’il aurait pu fuir avant son arrestation parce que, explique-t-il : «les membres de notre organisation m’avaient prévenu que je serais arrêté le lendemain. J’ai refusé de fuir, je suis resté. On est venu me chercher le matin, j’ai servi du café aux gens qui sont venus m’arrêter et nous sommes parti. J’ai accepté le prix à payer».
Devant la cour, Kémi Séba avance qu’il : «a répété que son acte était purement symbolique et c’est une fierté pour nous de l’avoir commis».
A l’en croire, cela ne veut pas dire qu’il voulait lancer le mode de brûler les billets parce qu’il a vu que des milliers d’africains ont commencé à brûler des billets dans différents endroits, ce n’était pas leur objectif.
Mais, précise-t-il : «une chose est claire, personne aujourd’hui ne peut contrôler cette jeunesse africaine qui ne veut plus être soumis».
«La justice m’a donné raison, je suis dehors, je suis libre et les personnes qui voulaient me voir incarcérer, devraient se ranger du côté de la loi. Et, je veux qu’elles sachent que le combat vis-à-vis de ceux qui travaillent contre l’Afrique, ne va pas cesser de s’agrandir», lance-t-il au micro de la Rfm.
Revenant sur son arrestation, le polémiste d’informer qu’il aurait pu fuir avant son arrestation parce que, explique-t-il : «les membres de notre organisation m’avaient prévenu que je serais arrêté le lendemain. J’ai refusé de fuir, je suis resté. On est venu me chercher le matin, j’ai servi du café aux gens qui sont venus m’arrêter et nous sommes parti. J’ai accepté le prix à payer».
Devant la cour, Kémi Séba avance qu’il : «a répété que son acte était purement symbolique et c’est une fierté pour nous de l’avoir commis».
A l’en croire, cela ne veut pas dire qu’il voulait lancer le mode de brûler les billets parce qu’il a vu que des milliers d’africains ont commencé à brûler des billets dans différents endroits, ce n’était pas leur objectif.
Mais, précise-t-il : «une chose est claire, personne aujourd’hui ne peut contrôler cette jeunesse africaine qui ne veut plus être soumis».
«La justice m’a donné raison, je suis dehors, je suis libre et les personnes qui voulaient me voir incarcérer, devraient se ranger du côté de la loi. Et, je veux qu’elles sachent que le combat vis-à-vis de ceux qui travaillent contre l’Afrique, ne va pas cesser de s’agrandir», lance-t-il au micro de la Rfm.
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