Les contestations post-électorales sont courantes au Kenya, mais les violences de ce lundi 27 mars ont pris un tour inattendu, d’où les appels au calme qui se multiplient. Outre la mort - une fois encore - d’un manifestant dans l’ouest du pays, les Kenyans ont assisté au saccage d’une propriété appartenant à l’ancien président Kenyatta, allié de Raila Odinga à la présidentielle. Selon des témoins, une centaine d’individus y ont fait irruption, coupé du bois allumé des feux, volé des moutons.
« Représailles »
Selon la presse kenyane, certains de ces individus ont été acheminés en bus et la police n’est pas intervenue. Raila Odinga accuse le pouvoir en place d’avoir fait appel à des hommes de main pour mener ce saccage ainsi que celui d’une entreprise de gaz liée aux intérêts économiques de sa famille. Le tout en « représailles » pour ses manifestations.
Écran de fumée
Dans leur communiqué diffusé hier, huit représentations diplomatiques occidentales y font d’ailleurs fait référence et salué l’engagement pris par la police d’enquêter sur « ces destructions ». De son côté, William Ruto, actuellement en Europe, a accusé Raila Odinga d’utiliser les manifestations et la question du pouvoir d’achat comme un écran de fumée, pour, en réalité négocier une participation au gouvernement, comme cela s’’est produit au lendemain de l'élection de 2017.
« Représailles »
Selon la presse kenyane, certains de ces individus ont été acheminés en bus et la police n’est pas intervenue. Raila Odinga accuse le pouvoir en place d’avoir fait appel à des hommes de main pour mener ce saccage ainsi que celui d’une entreprise de gaz liée aux intérêts économiques de sa famille. Le tout en « représailles » pour ses manifestations.
Écran de fumée
Dans leur communiqué diffusé hier, huit représentations diplomatiques occidentales y font d’ailleurs fait référence et salué l’engagement pris par la police d’enquêter sur « ces destructions ». De son côté, William Ruto, actuellement en Europe, a accusé Raila Odinga d’utiliser les manifestations et la question du pouvoir d’achat comme un écran de fumée, pour, en réalité négocier une participation au gouvernement, comme cela s’’est produit au lendemain de l'élection de 2017.
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