
Le Secrétaire général de l'AFP, Moustapha Niasse
Les contours du dialogue national sont déjà dressés. L’Alliance des Forces de Progrès (AFP) a pris les devants en esquissant les termes de référence de ces concertations suscitées par le président de la République.
«En ce qui concerne le cadre, le format et les acteurs du dialogue, le Bureau politique de l’AFP insiste sur son caractère inclusif et global, ce qui implique la participation de toutes les forces vives de la Nation qui ont livré les conclusions scientifiques, objectives des Assises Nationales. Pour le peuple, rien que pour le peuple, à travers une évaluation sans complaisances, des diagnostics pointus, et des recommandations claires, aux fins de trouver des solutions concrètes aux maux de notre pays», a indiqué le bureau politique de l’AFP.
Les camarades de Moustapha Niasse ont souligné que «les objectifs du dialogue étant ainsi campés, son champ de compétence devrait embrasser le devenir du Sénégal, de ses populations, de l’Afrique et les ambitions de notre pays sur la scène internationale. Pour sûr, la durée du dialogue devrait être circonscrite dans un calendrier qui ne dépasserait pas quelque huit semaines. Le processus de décisions, les conclusions et les changements escomptés par les Sénégalais devraient bénéficier de mécanismes réels qui garantiraient leur application programmée, datée, contrôlée et évaluée».
Analysant la question du dialogue proposé par le Président de la République, ils ont, selon le communiqué, estimé que «les préalables exigés par l’opposition constituent la traduction concrète et effective des priorités du peuple sénégalais, en matière de gouvernance démocratique, de transparence et de rigueur dans la gestion du bien public et des ressources nationales, dans le respect des dispositions de la Constitution et dans le respect dû aux Sénégalais, dans l’exercice de leurs droits en tant que citoyens d’un pays libre et souverain».
L’AFP a, en revanche, tenu à marteler : «accepter une invitation au dialogue relève de la culture de paix reconnue aux Sénégalais, mais cela ne saurait signifier se livrer à un simulacre de recherche d’un consensus fondé sur l’artifice et la ruse politique».
«En ce qui concerne le cadre, le format et les acteurs du dialogue, le Bureau politique de l’AFP insiste sur son caractère inclusif et global, ce qui implique la participation de toutes les forces vives de la Nation qui ont livré les conclusions scientifiques, objectives des Assises Nationales. Pour le peuple, rien que pour le peuple, à travers une évaluation sans complaisances, des diagnostics pointus, et des recommandations claires, aux fins de trouver des solutions concrètes aux maux de notre pays», a indiqué le bureau politique de l’AFP.
Les camarades de Moustapha Niasse ont souligné que «les objectifs du dialogue étant ainsi campés, son champ de compétence devrait embrasser le devenir du Sénégal, de ses populations, de l’Afrique et les ambitions de notre pays sur la scène internationale. Pour sûr, la durée du dialogue devrait être circonscrite dans un calendrier qui ne dépasserait pas quelque huit semaines. Le processus de décisions, les conclusions et les changements escomptés par les Sénégalais devraient bénéficier de mécanismes réels qui garantiraient leur application programmée, datée, contrôlée et évaluée».
Analysant la question du dialogue proposé par le Président de la République, ils ont, selon le communiqué, estimé que «les préalables exigés par l’opposition constituent la traduction concrète et effective des priorités du peuple sénégalais, en matière de gouvernance démocratique, de transparence et de rigueur dans la gestion du bien public et des ressources nationales, dans le respect des dispositions de la Constitution et dans le respect dû aux Sénégalais, dans l’exercice de leurs droits en tant que citoyens d’un pays libre et souverain».
L’AFP a, en revanche, tenu à marteler : «accepter une invitation au dialogue relève de la culture de paix reconnue aux Sénégalais, mais cela ne saurait signifier se livrer à un simulacre de recherche d’un consensus fondé sur l’artifice et la ruse politique».
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