A Rome, une enquête est déjà en cours pour déterminer si des membres du groupe terroriste Etat islamique pourraient avoir un rôle crucial dans le contrôle et la gestion des flux migratoires vers l’Italie. Le ministre de la Justice Andrea Orlando l’a annoncé officiellement le 3 août.
Mais une autre préoccupation fait la Une de tous les médias. Giacomo Stucchi, président du Copasir, l’organisme parlementaire qui veille sur les services de renseignement, affirme qu’avec l’avancée des forces gouvernementales à Syrte « le scénario change complètement » : « Jusqu’à présent, nous estimions qu’il était hautement improbable, voire impossible, que des affiliés à Daech s’infiltrent parmi les migrants tentant de rejoindre l’Europe via la Méditerranée. » « Mais désormais, admet-il, on ne peut plus nier ce risque. »
Mercredi 10 août, trois mois après le début de leur offensive visant à reprendre la ville de Syrte tenue par le groupe Etat islamique, les forces du gouvernement d’union nationale libyen se sont emparées du Centre de conférences Ouagadougou, un complexe qui abritait le centre de commandement de l’organisation jihadiste. « La bataille de Syrte a atteint sa phase ultime », a déclaré le général Mohamad al-Ghassri, porte-parole des forces du gouvernement d’union nationale. Les jihadistes contrôlent toujours quelques quartiers.
Afin de rassurer les Italiens et les touristes, le niveau de sécurité en Italie a été sensiblement relevé dans les ports de la péninsule et dans les procédures d’embarcation.
Source: Rfi.fr
Mais une autre préoccupation fait la Une de tous les médias. Giacomo Stucchi, président du Copasir, l’organisme parlementaire qui veille sur les services de renseignement, affirme qu’avec l’avancée des forces gouvernementales à Syrte « le scénario change complètement » : « Jusqu’à présent, nous estimions qu’il était hautement improbable, voire impossible, que des affiliés à Daech s’infiltrent parmi les migrants tentant de rejoindre l’Europe via la Méditerranée. » « Mais désormais, admet-il, on ne peut plus nier ce risque. »
Mercredi 10 août, trois mois après le début de leur offensive visant à reprendre la ville de Syrte tenue par le groupe Etat islamique, les forces du gouvernement d’union nationale libyen se sont emparées du Centre de conférences Ouagadougou, un complexe qui abritait le centre de commandement de l’organisation jihadiste. « La bataille de Syrte a atteint sa phase ultime », a déclaré le général Mohamad al-Ghassri, porte-parole des forces du gouvernement d’union nationale. Les jihadistes contrôlent toujours quelques quartiers.
Afin de rassurer les Italiens et les touristes, le niveau de sécurité en Italie a été sensiblement relevé dans les ports de la péninsule et dans les procédures d’embarcation.
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Bosnie: la présidentielle anticipée dans l'entité serbe pourrait tourner la page du nationalisme
-
Ukraine: la fille de Jacob Zuma a-t-elle orchestré le départ de Sud-Africains sur le front?
-
États-Unis: Donald Trump affirme que les négociations commerciales avec le Canada sont «rompues»
-
Nicolas Sarkozy incarcéré à la prison de la Santé, la demande de mise en liberté déposée
-
France: Cédric Jubillar condamné à 30 ans de réclusion pour le meurtre de son épouse





Bosnie: la présidentielle anticipée dans l'entité serbe pourrait tourner la page du nationalisme


