Mamadou Ba, ce diplômé en mathématique et en informatique, après avoir décroché ses diplômes en France a décidé d’entrer au pays pour investir dans l’agriculture. Selon lui, l’entrée du Maroc à la zone CEDEAO devrait être une question à étudier : « Le Maroc à la zone CEDEAO est une question à étudier. C’est à nous de voir ce que le Maroc peut nous apporter parce que cette entrée ne devrait pas se passer comme ça. Cela peut détruire surtout les PME sénégalaises », prévient le jeune entrepreneur.
Cependant, il reconnait que nous «sommes dans la mondialisation et que nous ne pouvons pas nous enfermer dans notre économie, l’idée c’est de s’ouvrir ».
Ainsi, il invite les autorités à aider les PME pour qu’elles puissent résister à la concurrence : « Il faut donner des moyens aux entreprises pour qu’elles puissent combattre et devenir demain des champions nationaux », avant d’ajouter : «Autant nous avons peur des marocains qui arrivent, autant demain ce sont les entreprises sénégalaises qui doivent aller vers d’autres pays », a-t-il conclu.
Arona Thiam lui, trouve l’intégration bénéfique car soutient-il : « C’est l’union qui fait la force, on a toujours quelques choses à prendre du Maroc d’autant plus que depuis un certain temps le Sénégal reçoit leurs agrumes marocains ».
Il estime que : «La CDEAO a tout à gagner. L’économie marocaine ne dominera pas celle sénégalaise, au contraire, ça devrait plutôt être un motif de sursaut pour les africains, ça peut les booster ».
Selon lui : «l’intégration du Maroc à la CDEAO n’est pas un inconvénient parce que nous sommes dans un village planétaire, on ne peut pas tout le temps s'enfermer sur nous-même », a laissé entendre Arona Thiam.
Cependant, il reconnait que nous «sommes dans la mondialisation et que nous ne pouvons pas nous enfermer dans notre économie, l’idée c’est de s’ouvrir ».
Ainsi, il invite les autorités à aider les PME pour qu’elles puissent résister à la concurrence : « Il faut donner des moyens aux entreprises pour qu’elles puissent combattre et devenir demain des champions nationaux », avant d’ajouter : «Autant nous avons peur des marocains qui arrivent, autant demain ce sont les entreprises sénégalaises qui doivent aller vers d’autres pays », a-t-il conclu.
Arona Thiam lui, trouve l’intégration bénéfique car soutient-il : « C’est l’union qui fait la force, on a toujours quelques choses à prendre du Maroc d’autant plus que depuis un certain temps le Sénégal reçoit leurs agrumes marocains ».
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