La Somalie se dit prête à envoyer des soldats pour assurer la sécurité et la paix au Soudan du Sud. C’est ce qu’a confirmé cette semaine le ministre adjoint de l’Education qui s’en est pris aux critiques.
Pourquoi la Somalie – qui sort d’un conflit - ne pourrait-elle pas contribuer à une force de maintien de la paix, a-t-il demandé. Avant d’ajouter que le Burundi – lui-même en guerre - avait bien envoyé des troupes en Somalie.
Et pourtant, cette annonce laisse certains observateurs perplexes. Le président somalien et son Premier ministre ne se déplacent pas dans la capitale sans une escorte de la mission de l’UA, font remarquer ces critiques.
De plus, ajoutent-ils, l’Amisom s’apprête à entamer le retrait de ses 21 000 soldats de Somalie. Et malgré la formation accélérée des Forces armées somaliennes, celles-ci ne sont pas prêtes à affronter seules la menace islamiste des shebabs. Et encore moins à envoyer des troupes hors des frontières.
Pourquoi la Somalie – qui sort d’un conflit - ne pourrait-elle pas contribuer à une force de maintien de la paix, a-t-il demandé. Avant d’ajouter que le Burundi – lui-même en guerre - avait bien envoyé des troupes en Somalie.
Et pourtant, cette annonce laisse certains observateurs perplexes. Le président somalien et son Premier ministre ne se déplacent pas dans la capitale sans une escorte de la mission de l’UA, font remarquer ces critiques.
De plus, ajoutent-ils, l’Amisom s’apprête à entamer le retrait de ses 21 000 soldats de Somalie. Et malgré la formation accélérée des Forces armées somaliennes, celles-ci ne sont pas prêtes à affronter seules la menace islamiste des shebabs. Et encore moins à envoyer des troupes hors des frontières.
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