Dans les premiers jours après l’attaque, alors qu’elle pouvait à peine parler, cette jeune fille de 23 ans avait écrit ces quelques mots à sa mère en hindi : « Je veux vivre ». Tout le monde en Inde était impressionné par le courage dont elle faisait preuve après avoir subi de telles horreurs. Elle était ainsi devenue le symbole de la résistance des femmes pour tous les manifestants qui ne cessaient d’affluer dans le centre de New Delhi.
Samedi matin, la police a bouclé la porte de l’Inde, épicentre des manifestations, par crainte de débordements. Le chef du gouvernement local de New Delhi, Sheila Dikshit a également lancé un appel au calme et assuré que « très bientôt, des décisions solides seraient prises » pour protéger les femmes dans la capitale indienne.
Quant au Premier ministre, Manmohan Singh, il a déclaré que la mort de la jeune étudiante ne devait pas être vaine. Mais, face à la gravité des crimes commis en Inde contre les femmes au quotidien, il faudra sûrement plus que ces quelques mots pour apaiser cette rage inédite.
Source : Rfi.fr
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