«Une structure comme l’IPAR, composée de cadre de très haut niveau, s’investissant dans le champ de la prospective agricole et rural, c’est pour le gouvernement du Sénégal, un intrant stratégique pour l’émergence d’agriculture forte. Pourquoi ? Parce que changer de monde, c’est d’abord comprendre son anatomie, comprendre sa physiologie, c’est comprendre sa dynamique d’évolution», a soutenu le Dr Papa Abdoulaye Seck.
Selon le ministre de l’agriculture et de l’équipent rurale, «le futur, on l’invente ou il nous invente. Et lorsque le futur nous invente, nous n’avons qu’un choix, c’est une soumission intégrale. Alors, il est important sur la gestion des urgences, pour véritablement être dans une dynamique de rationalisation de la réflexion sur le devenir. C’est ça la prospective». Pour lui, il s’agit d’inventer au lieu d’être inventé. «Tel est la mission «assigné à un plan stratégique», a-t-il souligné.
Dr Aminata Badiane, Présidente du Conseil d’administration de l’IPAR est, pour sa part, revenue sur l’objectif principal de la rencontre. «L’objectif principal de la rencontre est la présentation aux partenaires de l’IPAR du plan stratégique quinquennal 2017-2021. L’occasion sera mise à profit pour organiser un débat axé sur des expériences de pays de la sous-région en matière de réforme foncière et dans la perspective de la mise en œuvre de la réforme foncière au Sénégal», a-telle rappelé.
Et d'ajouter: «Le processus d’élaboration de la seconde génération du plan stratégique de l’IPAR, a suivi les pas du premier, celui de 2010-2015. Il procède d’une analyse de contexte socio-économique et politique et des défis qui se posent en Afrique de l’Ouest pour structurer la contribution des élites à la transformation structurelle du potentiel de développement du continent, à travers la recherche, le renforcement des capacités et l’instauration du dialogue politique».
A l'en croire, «l’évaluation du premier plan stratégique de l’IPAR a permis d’identifié des éléments de satisfaction mais également les assister à améliorer».
«Les institutions ont besoin d’une planification stratégique. Surtout quand on est une institution de prospective. On a besoin de voir ce qui va venir à l’avenir et ne pas rester sur le quotidien. C’est pourquoi, on avait pensé en 2010 élaborer une planification stratégique sur cinq (5) ans, qui prend en compte les préoccupations du gouvernements, société civile, du secteur privé et de l’ensemble des acteurs ici au Sénégal», a déclaré le Directeur Exécutif de l’IPAR.
Poursuivant son intervention, Dr Cheikh Oumar BA a insisté sur la base de ce plan stratégique. «On a réussi des recherches reconnues au niveau international et qui nous ont permis sur le plan de l’emploi des jeunes, parce qu’on a été parmi les premiers à attirer l’attention sur la nécessité de mettre l’accent sur la création de l’emploi des jeunes, c’était en 2009. Il y’a 269 000 jeunes qui arrivent sur le marché de l’emploi et qu’il était important de veiller à cela, que des jeunes trouvent des alternatives. Le deuxième point qu’on a soulevé, c’était la gestion foncière... On a vu que le foncier est souvent indexé... et il était important que le Sénégal puisse engager un processus pour voir de quelles réformes on pourrait avoir besoin (pour) sécuriser les agricultures familiales mais aussi qui s’ouvrent à l’investissement», a-t-il dit.
Selon le ministre de l’agriculture et de l’équipent rurale, «le futur, on l’invente ou il nous invente. Et lorsque le futur nous invente, nous n’avons qu’un choix, c’est une soumission intégrale. Alors, il est important sur la gestion des urgences, pour véritablement être dans une dynamique de rationalisation de la réflexion sur le devenir. C’est ça la prospective». Pour lui, il s’agit d’inventer au lieu d’être inventé. «Tel est la mission «assigné à un plan stratégique», a-t-il souligné.
Dr Aminata Badiane, Présidente du Conseil d’administration de l’IPAR est, pour sa part, revenue sur l’objectif principal de la rencontre. «L’objectif principal de la rencontre est la présentation aux partenaires de l’IPAR du plan stratégique quinquennal 2017-2021. L’occasion sera mise à profit pour organiser un débat axé sur des expériences de pays de la sous-région en matière de réforme foncière et dans la perspective de la mise en œuvre de la réforme foncière au Sénégal», a-telle rappelé.
Et d'ajouter: «Le processus d’élaboration de la seconde génération du plan stratégique de l’IPAR, a suivi les pas du premier, celui de 2010-2015. Il procède d’une analyse de contexte socio-économique et politique et des défis qui se posent en Afrique de l’Ouest pour structurer la contribution des élites à la transformation structurelle du potentiel de développement du continent, à travers la recherche, le renforcement des capacités et l’instauration du dialogue politique».
A l'en croire, «l’évaluation du premier plan stratégique de l’IPAR a permis d’identifié des éléments de satisfaction mais également les assister à améliorer».
«Les institutions ont besoin d’une planification stratégique. Surtout quand on est une institution de prospective. On a besoin de voir ce qui va venir à l’avenir et ne pas rester sur le quotidien. C’est pourquoi, on avait pensé en 2010 élaborer une planification stratégique sur cinq (5) ans, qui prend en compte les préoccupations du gouvernements, société civile, du secteur privé et de l’ensemble des acteurs ici au Sénégal», a déclaré le Directeur Exécutif de l’IPAR.
Poursuivant son intervention, Dr Cheikh Oumar BA a insisté sur la base de ce plan stratégique. «On a réussi des recherches reconnues au niveau international et qui nous ont permis sur le plan de l’emploi des jeunes, parce qu’on a été parmi les premiers à attirer l’attention sur la nécessité de mettre l’accent sur la création de l’emploi des jeunes, c’était en 2009. Il y’a 269 000 jeunes qui arrivent sur le marché de l’emploi et qu’il était important de veiller à cela, que des jeunes trouvent des alternatives. Le deuxième point qu’on a soulevé, c’était la gestion foncière... On a vu que le foncier est souvent indexé... et il était important que le Sénégal puisse engager un processus pour voir de quelles réformes on pourrait avoir besoin (pour) sécuriser les agricultures familiales mais aussi qui s’ouvrent à l’investissement», a-t-il dit.
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