
Après l’arrestation de son directeur général, le Fonds monétaire international n’a pas voulu faire de commentaire, attendant d’en savoir plus sur les faits qui lui sont reprochés. Pour le moment, l’institution peut fonctionner sans lui.
En l’absence de Dominique Strauss-Khan, c’est son adjoint, l’Américain John Lipsky qui peut le remplacer. Le FMI n’a pas à prendre de décision immédiate tant que les faits ne sont pas connus avec exactitude. Mais si l’agression sexuelle est prouvée, cela peut assurément constituer, selon le code du Fonds, une cause de renvoi.
Tout le personnel de l’organisation est tenu de respecter un code de conduite qui insiste sur l’importance d’un comportement éthique,« conforme aux valeurs d’intégrité, d’impartialité et de discrétion ». En 2008, DSK avait déjà fait l’objet d’une enquête pour avoir eu une relation extra-conjugale avec une économiste hongroise, en charge du département Afrique.
Mais comme il n’y avait eu ni harcélement, ni favoritisme, ni abus de pouvoir, le directeur général du FMI s’en était tiré avec une réprimande pour « grave erreur de jugement ». Si les accusations de la femme de chambre new-yorkaise sont fondées, le conseil d’administration du Fonds sera cette fois beaucoup moins indulgent. DSK, s’il était démis de ses fonctions ne perdrait pas tout : son contrat prévoit une indemnité de départ réprésentant l’équivalent de 60% de son salaire!
En l’absence de Dominique Strauss-Khan, c’est son adjoint, l’Américain John Lipsky qui peut le remplacer. Le FMI n’a pas à prendre de décision immédiate tant que les faits ne sont pas connus avec exactitude. Mais si l’agression sexuelle est prouvée, cela peut assurément constituer, selon le code du Fonds, une cause de renvoi.
Tout le personnel de l’organisation est tenu de respecter un code de conduite qui insiste sur l’importance d’un comportement éthique,« conforme aux valeurs d’intégrité, d’impartialité et de discrétion ». En 2008, DSK avait déjà fait l’objet d’une enquête pour avoir eu une relation extra-conjugale avec une économiste hongroise, en charge du département Afrique.
Mais comme il n’y avait eu ni harcélement, ni favoritisme, ni abus de pouvoir, le directeur général du FMI s’en était tiré avec une réprimande pour « grave erreur de jugement ». Si les accusations de la femme de chambre new-yorkaise sont fondées, le conseil d’administration du Fonds sera cette fois beaucoup moins indulgent. DSK, s’il était démis de ses fonctions ne perdrait pas tout : son contrat prévoit une indemnité de départ réprésentant l’équivalent de 60% de son salaire!
Autres articles
-
Microfinance : une hausse de 20,7 % des bénéfices en 2023, portée par le crédit
-
L’ancien PM Abdoul Mbaye exige la lumière sur l’affaire Arcelor Mittal
-
Digitalisation des amendes forfaitaires : 164 014 attestations traitées, 841,9 millions FCFA collectés par les forces de sécurité
-
Missions à l’étranger : Sonko annonce la rationalisation pour réduire les dépenses publiques
-
Sénégal – Union européenne : Un premier dialogue stratégique avec les nouvelles autorités