Comme à chaque fois dans ces rapports, il y a du bon et du moins bon, souffle un analyste. Le FMI évoque des perspectives économiques « difficiles » dans les prochains mois et une croissance moins élevée pour 2024.
Selon un économiste, il fallait s’y attendre : les prévisions étaient fixées à 10 % du PIB il y a un an, rappelle-t-il, avant de descendre à 7 % en juin et 6 % aujourd’hui. Des chiffres qui interrogent sur les objectifs que le précédent régime avait communiqués au FMI.
Autre point noir : le déficit du pays devrait dépasser 7,5 % du PIB cette année, bien au-delà des 3,9 % prévus dans le budget initial.
Mais deux indicateurs particulièrement scrutés sont positifs. Le déficit du compte courant, soit la part de produits venant de l’étranger, devrait descendre à 12,7 % du PIB à la faveur du démarrage de la production d’hydrocarbure. Autre bonne nouvelle : l’inflation globale diminue également pour atteindre 1,5 %.
Les réformes promises par les nouvelles autorités sont par ailleurs saluées. Mais l’économiste rappelle qu’elles ont hérité du précédent régime une situation financière particulièrement mauvaise qui ne s’améliorera pas du jour au lendemain.
Selon un économiste, il fallait s’y attendre : les prévisions étaient fixées à 10 % du PIB il y a un an, rappelle-t-il, avant de descendre à 7 % en juin et 6 % aujourd’hui. Des chiffres qui interrogent sur les objectifs que le précédent régime avait communiqués au FMI.
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