Les images ont fait leur tour du net. Des employés de supermarchés au Koweït retirant les produits français de leurs rayons. Ces grandes surfaces appartiennent notamment à Saad Al Chabw. Cet homme d’affaires est à la tête de l’une des principales coopératives alimentaires de l’émirat. « Les produits français représentent une importante part du marché koweïtien. Il s’agit principalement de produits alimentaires : des eaux minérales, des fromages et des cosmétiques comme les shampoings et les savons. »
Dans sa bataille contre « le made in France », Saad Al Chabw, n’est pas seul. En concertation avec tous les autres patrons de supermarchés koweitiens, ils ont retiré les produits « bleu, blanc, rouge » de leurs étals. « Notre prophète nous est très cher, plus même que nos propres parents. Donc, nous sommes indignés lorsqu’on lui porte atteinte et nous le montrons à travers cette guerre économique. Car le monde occidental n’entend raison que lorsqu’il subit des pertes économiques. »
Selon Saad Al Chabw, le boycott des produits français durera aussi longtemps que nécessaire car c’est une méthode pacifique. Il dit « condamner toute forme de violence » et dénonce le « crime odieux », dont a été victime l’enseignant français.
Une mobilisation en réaction aux récents propos d’Emmanuel Macron sur l’islam, à la suite de l’assassinat de Samuel Paty, ce professeur tué en France pour avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète Mahomet.
Dans sa bataille contre « le made in France », Saad Al Chabw, n’est pas seul. En concertation avec tous les autres patrons de supermarchés koweitiens, ils ont retiré les produits « bleu, blanc, rouge » de leurs étals. « Notre prophète nous est très cher, plus même que nos propres parents. Donc, nous sommes indignés lorsqu’on lui porte atteinte et nous le montrons à travers cette guerre économique. Car le monde occidental n’entend raison que lorsqu’il subit des pertes économiques. »
Selon Saad Al Chabw, le boycott des produits français durera aussi longtemps que nécessaire car c’est une méthode pacifique. Il dit « condamner toute forme de violence » et dénonce le « crime odieux », dont a été victime l’enseignant français.
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