Le Président d’honneur du Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR) a invité ce mardi, les acteurs de la recherche sur le programme de développement et la politique régionale de recherche de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à enlever les barrières qui séparent leurs départements et leurs pays.
C’était au cours de la réunion des acteurs qui s’est ouverte ce mardi à Dakar pour trois jours.
Pour Mamadou Cissokho, les chercheurs doivent renforcer leurs capacités pour transformer et créer des richesses à une population de 153 millions dont 53% sont des ruraux. «On ne peut pas passer toute notre vie à chercher qui est pauvre, comment il est devenu pauvre etc. Il faut arrêter cela», a-t-il intimé parce que «tout le monde sait que 40% de la population sont des pauvres».
A l’en croire, le défit pour l’Afrique de l’ouest c’est de partir de nos atouts «pour créer» la richesse «bien distribuée» entre tout le monde. C’est pourquoi il n’a pas hésité à interpeller les chercheurs. «Je leur ai demandé de s’intéresser à la valorisation de nos savoirs endogènes. Il y a des choses ici depuis le temps de nos ancêtres. On doit les développer», a-t-il fait savoir.
Pour ce faire, il a exhorté à tous les acteurs de mettre en commun leurs efforts. Car les efforts ne doivent pas «être éparpillés». Il recommande aux chercheurs d’enlever «les barrières» qui séparent leurs départements.
C’était au cours de la réunion des acteurs qui s’est ouverte ce mardi à Dakar pour trois jours.
Pour Mamadou Cissokho, les chercheurs doivent renforcer leurs capacités pour transformer et créer des richesses à une population de 153 millions dont 53% sont des ruraux. «On ne peut pas passer toute notre vie à chercher qui est pauvre, comment il est devenu pauvre etc. Il faut arrêter cela», a-t-il intimé parce que «tout le monde sait que 40% de la population sont des pauvres».
A l’en croire, le défit pour l’Afrique de l’ouest c’est de partir de nos atouts «pour créer» la richesse «bien distribuée» entre tout le monde. C’est pourquoi il n’a pas hésité à interpeller les chercheurs. «Je leur ai demandé de s’intéresser à la valorisation de nos savoirs endogènes. Il y a des choses ici depuis le temps de nos ancêtres. On doit les développer», a-t-il fait savoir.
Pour ce faire, il a exhorté à tous les acteurs de mettre en commun leurs efforts. Car les efforts ne doivent pas «être éparpillés». Il recommande aux chercheurs d’enlever «les barrières» qui séparent leurs départements.
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