« France Télécom est le dernier symbole de la colonisation française en Afrique », c’est un des arguments du Président Wade qui avait annoncé son intention de renationaliser la Sonatel. Le présentateur de l’émission grand jury de la RFM qui recevait la chargée de la communication du PS l’a rappelé. Et sur cette question, Me Aïssata Tall Sall trouve que « Me Wade est illégitime à parler de renationalisation d’une quelconque entreprise, il l’a fait avec la SENELEC, nous en sommes à l’impasse en matière d’énergie ». « Une piqûre de rappel à Wade pour ses velléités de vouloir renationaliser la Sonatel » ajoute l’avocate.
L’intérêt de l’Etat, pense Aïssata Tall Sall, c’est que la Sonatel gagne, l’Etat est actionnaire, plus la Sonatel gagne, l’Etat gagne argumente-t-elle. Elle trouve inconcevable dans un monde des télécoms totalement libéralisé, l’intervention de l’Etat, et d’ailleurs pour commencer le Sénégal devait racheter les actions de France Télécom dans la Sonatel.
C’est là le moyen le plus rapide de tuer l’économie sénégalaise et après l’agriculture et l’industrie à genoux selon Aïssata Tall Sall, s’en est fini du Sénégal et de son budget.
L’intérêt de l’Etat, pense Aïssata Tall Sall, c’est que la Sonatel gagne, l’Etat est actionnaire, plus la Sonatel gagne, l’Etat gagne argumente-t-elle. Elle trouve inconcevable dans un monde des télécoms totalement libéralisé, l’intervention de l’Etat, et d’ailleurs pour commencer le Sénégal devait racheter les actions de France Télécom dans la Sonatel.
C’est là le moyen le plus rapide de tuer l’économie sénégalaise et après l’agriculture et l’industrie à genoux selon Aïssata Tall Sall, s’en est fini du Sénégal et de son budget.
Autres articles
-
Agriculture : le CNCR et Mabouba Diagne en point de presse ce vendredi
-
Sénégal – Agriculture : 160 000 tonnes de noix de cajou produites en 2023, selon les acteurs
-
Banque agricole : Fatma Fall Dièye remplace Cheikh Ba à la Direction générale
-
Départ d’Abdoulaye Niane : Mamadou Faye prend les rênes de la BNDE
-
Publication des licences de pêche, réglementation… : « Il n’y a pas de surveillance dans les côtes sénégalaises » (Ibrahima Mar)