10 000 soldats soudanais sont rentrés au pays. Il n'en reste donc aujourd'hui plus que 5 000 sur le terrain. Et l'objectif, a déclaré le Premier ministre Abdallah Hamdok à sa descente d'avion en provenance de Washington, est de retirer à terme tous les soldats soudanais du conflit.
Des soldats pour l'essentiel issus des Forces de réaction rapide du célèbre général surnommé « Hemetti », le numéro 2 du Conseil souverain soudanais. Et qui étaient surtout positionnés à la frontière de l'Arabie saoudite, pour empêcher les incursions rebelles.
Le Soudan confirme donc les observations faites ces derniers mois : une désescalade militaire est bien en cours au Yémen, après cinq ans d'une guerre dévastatrice. En juillet dernier, c'étaient les Émirats arabes unis qui avaient annoncé ce qu'ils appelaient alors un « redéploiement stratégique ». En réalité, un désengagement progressif en vue d'adopter « une stratégie de paix ».
Tout cela fait suite aux fragiles pourparlers informels engagés depuis fin septembre par l'Arabie saoudite avec les rebelles Houthis. Une première étape vers un cessez-le-feu avait déjà été franchie début novembre, après la signature à Riyad d'un premier accord entre le gouvernement yéménite et la rébellion séparatiste qui contrôle le port d'Aden.
Des soldats pour l'essentiel issus des Forces de réaction rapide du célèbre général surnommé « Hemetti », le numéro 2 du Conseil souverain soudanais. Et qui étaient surtout positionnés à la frontière de l'Arabie saoudite, pour empêcher les incursions rebelles.
Le Soudan confirme donc les observations faites ces derniers mois : une désescalade militaire est bien en cours au Yémen, après cinq ans d'une guerre dévastatrice. En juillet dernier, c'étaient les Émirats arabes unis qui avaient annoncé ce qu'ils appelaient alors un « redéploiement stratégique ». En réalité, un désengagement progressif en vue d'adopter « une stratégie de paix ».
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