Des coups de feu ont été entendus le lundi 9 juillet à Buea (sud-ouest du Cameroun) aux environs de 10 heures exactement. Il s’agit des échanges entre les forces de défense Camerounaise et Les forces de défense ambazoniennes. Ces derniers sont déterminés à déstabiliser le pouvoir en place. Les affrontements en zone anglophone interviennent alors que le gouvernement a annoncé le lancement cette semaine, un plan d’urgence humanitaire d’urgence initié par le président Paul Biya.
Cela fait déjà des semaines que les journées villes mortes perdurent, et les activités sont paralysées dans la région du sud–ouest. Le maire de la ville de ‘Buea’ Patrick Ekéma a invité les commerçants le 6 juillet dernier à rouvrir leurs boutiques et structures et qu’il allait faire une descente sur le terrain. Une manière de mettre la pression sur ces derniers. Il ne pourra donc jamais mettre ses paroles en exécution ; car les forces de défense ambazoniennes ont été sur le terrain plus tôt que prévu. Des bus de l’agence de voyage « Mondial Express » ont été brulés, des coups de feu ont été entendus et l’entrée de la ville bloquée par des individus armés. C’est la première fois qu’une irruption pareille a lieu dans la capitale du sud-ouest depuis le début de la crise anglophone en 2016. Une riposte à la hauteur de ce que l’armée Camerounaise leur inflige.
Dans d’autres villes frontalières comme Kumba, Bamenda et dans une infime partie de l’ouest du pays, des incidents pareils ont été constatés. Des habitations, préfecture, des véhicules de civils brulés ainsi que des pertes en vie humaines. En renfort, le bataillon d’intervention rapide s’est déployé dans la zone afin de protéger la population.
Cela fait déjà des semaines que les journées villes mortes perdurent, et les activités sont paralysées dans la région du sud–ouest. Le maire de la ville de ‘Buea’ Patrick Ekéma a invité les commerçants le 6 juillet dernier à rouvrir leurs boutiques et structures et qu’il allait faire une descente sur le terrain. Une manière de mettre la pression sur ces derniers. Il ne pourra donc jamais mettre ses paroles en exécution ; car les forces de défense ambazoniennes ont été sur le terrain plus tôt que prévu. Des bus de l’agence de voyage « Mondial Express » ont été brulés, des coups de feu ont été entendus et l’entrée de la ville bloquée par des individus armés. C’est la première fois qu’une irruption pareille a lieu dans la capitale du sud-ouest depuis le début de la crise anglophone en 2016. Une riposte à la hauteur de ce que l’armée Camerounaise leur inflige.
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