Le général Sékouba Konaté avait pris des engagements, au près du conseiller Afrique de l’Élysée, André Parant, et son alter ego au sein du département d’État américain, Johnnie Carson, le tout sous supervision marocaine, devant interdire le retour en Guinée Conakry du capitaine Moussa Dadis Camara.
En effet, pour promouvoir la paix et une transition démocratique en République de Guinée, le Général Konaté aurait signé en présence de ces représentants français et américain en début janvier à Rabat (alors que le Capitaine Moussa Dadis Camara était hospitalisé dans ce même pays) un document confidentiel appelé «Déclaration de Rabat». Cette déclaration, que s’est procuré le Magasine Jeune Afrique, comporterait quatre points importants.
Ainsi le président intérimaire de la Guinée, se serait engagé à «prendre personnellement la responsabilité» de la transition. Cette dernière débouchera « dès que possible sur des élections démocratiques libres et transparentes». Dans le but de «prévenir tout risque de violence» pendant cette période. C’est dans ce contexte également qu’il a promis «d’interdire le retour en Guinée du capitaine Moussa Dadis Camara». Dans le même sens, il a assuré qu’il facilitera les poursuites judiciaires engagées contre « toute personne coupable d’abus de pouvoir ou d’actes de violence ».
En contre partie, Français et Américains devaient accorder «pendant et après la période de transition » leur aide «technique, matérielle et financière » au processus et à « mobiliser le soutien de la communauté internationale». Quant au Maroc, il devait jouer le rôle de coordinateur.
En effet, pour promouvoir la paix et une transition démocratique en République de Guinée, le Général Konaté aurait signé en présence de ces représentants français et américain en début janvier à Rabat (alors que le Capitaine Moussa Dadis Camara était hospitalisé dans ce même pays) un document confidentiel appelé «Déclaration de Rabat». Cette déclaration, que s’est procuré le Magasine Jeune Afrique, comporterait quatre points importants.
Ainsi le président intérimaire de la Guinée, se serait engagé à «prendre personnellement la responsabilité» de la transition. Cette dernière débouchera « dès que possible sur des élections démocratiques libres et transparentes». Dans le but de «prévenir tout risque de violence» pendant cette période. C’est dans ce contexte également qu’il a promis «d’interdire le retour en Guinée du capitaine Moussa Dadis Camara». Dans le même sens, il a assuré qu’il facilitera les poursuites judiciaires engagées contre « toute personne coupable d’abus de pouvoir ou d’actes de violence ».
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