Le Festival des arts nègres (FESMAN) approche à pas de géant (il a lieu en début décembre) mais d'aucuns sont contre la démarche adoptée dans son organisation. C'est le cas du Président du Cercle des intellectuels soufis qui estime que «le pilotage du FESMAN est ringard». «Me Abdoulaye Wade devait se concerter avec tous les artistes pour une vision globale intégrée», conseille le marabout qui ajoute que le festival aurait connu une autre ampleur s’il avait écouté des conseils plus élargies. «Si Me Abdoulaye Wade veut faire une trouvaille culturelle de haute facture, il devrait organiser un festival mondial des arts et des lettres nègres qui aurait plus de popularité», a souligné le marabout intellectuel.
Pour lui cela aurait donné lieu à des déclamations de poèmes (édile, élégie, séances de divination…) de ouolof, halpular, sérère (…).
A en croire le marabout les lacunes constatées au niveau de l’organisation de ce FESMAN sont liées au choix de Sindiély Wade à la tête de cette institution alors que ce n’est pas une personne "connue sur son intérêt pour la culture".
Par ailleurs, Serigne Fallou Dieng n’approuve pas l’organisation decette manifestation au moment oùle Sénégal traverse des moments difficiles. Il estime que les priorités sont ailleurs. «Vu le contexte morose et le frémissement économique qui prévalent en ce moment au Sénégal, l’organisation d’un festival avec ses coûts inhérents semble aberrante», a campé Serigne Fallou Dieng qui attaque même la forme de l’organisation.
Pour lui cela aurait donné lieu à des déclamations de poèmes (édile, élégie, séances de divination…) de ouolof, halpular, sérère (…).
A en croire le marabout les lacunes constatées au niveau de l’organisation de ce FESMAN sont liées au choix de Sindiély Wade à la tête de cette institution alors que ce n’est pas une personne "connue sur son intérêt pour la culture".
Par ailleurs, Serigne Fallou Dieng n’approuve pas l’organisation decette manifestation au moment oùle Sénégal traverse des moments difficiles. Il estime que les priorités sont ailleurs. «Vu le contexte morose et le frémissement économique qui prévalent en ce moment au Sénégal, l’organisation d’un festival avec ses coûts inhérents semble aberrante», a campé Serigne Fallou Dieng qui attaque même la forme de l’organisation.
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