Tony Allen était le batteur de génie, une légende, un pionnier de l’afrobeat avec son maître et ami Fela Kuti. Les deux jeunes musiciens nigérians avaient découvert le combat et les revendications des Afro-américains comme Martin Luther King, Malcom X et le Black Panther Party au cours d’une tournée dans les années 1960 aux États-Unis.
De cet apprentissage politique naîtra un courant musical, l’afrobeat, avec des textes engagés et un rythme à la croisée du jazz et de l’Afrique. Le Nigeria en deviendra le berceau. Le chemin des deux hommes se sépare à la fin des années 1970. Tony Allen préférera toujours le camp de la musique, pure, expérimentale, flirtant parfois avec l’électro.
Au début des années 1980, il s'installe à Paris et enregistre la batterie sur plusieurs albums de chanteurs français comme Jean-Michel Jarre, Charlotte Gainsbourg et Sébastien Tellier. En 2005, il revient aux sources avec l’album « Lagos No Shaking »(« Lagos, ne tremble pas »), enregistré au Nigeria. L’année suivante, il est d’une nouvelle aventure, membre du supergroupe The Good, The Bad and the Queen, formé par Damon Albarn, le leader du groupe Blur. Les deux hommes, que 40 ans séparent, s’admirent et multiplieront les projets.
De cet apprentissage politique naîtra un courant musical, l’afrobeat, avec des textes engagés et un rythme à la croisée du jazz et de l’Afrique. Le Nigeria en deviendra le berceau. Le chemin des deux hommes se sépare à la fin des années 1970. Tony Allen préférera toujours le camp de la musique, pure, expérimentale, flirtant parfois avec l’électro.
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