Des discussions qui ont permis aux uns et aux autres d’accorder les violons et de trouver un compromis qui semble satisfaire toutes les parties avec l’accord sur l’élargissement de la tranche sociale qui passe ainsi de 50 kw/h à 150 kw/h.
Au départ opposés à l’augmentation des tarifs de l’électricité, le collectif des imams de Guediawaye rejoints par les associations de défense des consommateurs, avaient exigé l’annulation pure et simple de la hausse de 8% sur les tarifs de l’électricité. Après la rencontre avec le Premier ministre qui leur avait fait savoir que la hausse n’était pas négociable, le ministre de l’énergie et des Biocarburants Samuel Sarr avait entamé des discussions avec les parties qui avaient alors jeté leur dévolu sur l’élargissement de la tranche sociale afin de permettre aux faibles revenus de supporter la hausse des tarifs. Ce à quoi les autorités du ministère étaient ouvertes.
De discussions en négociations, les parties se sont retrouvées hier au Cabinet du ministre et durant six heures d’horloge ponctuées de pauses pour cause de prières et afin de trouver une issue équidistante, les associations de consommateurs et le collectif ont accepté la pertinence et la cohérence des simulations faites par Senelec, même s’il était question de négocier le niveau de la tranche sociale en question.
Finalement, au lieu des 250 kw/h que réclamaient ces derniers, un accord a été trouvé pour l’élargissement de la tranche sociale jusqu’à 150 kw/h.
Avec cet accord, le client de la tranche 1 gagne le différentiel entre la tranche 2 et la tranche 3 qui est la plus chère car comportant une TVA en plus.
La tranche 1 est en effet la moins chère d’où son attribut de « sociale » et son élargissement permet aux revenus les plus faibles de consommer avec plus d’aisance sans payer cher, alors que cela n’aura pas d’incidence sur les clients des autres tranches. En revanche, cela aura certainement une incidence financière sur Senelec « mais que le gouvernement va assumer au profit des consommateurs », a déclaré le Ministre de l’Energie et des biocarburants.
Si le ministre de tutelle s’est dit « content » de cet accord, il n’a pas manqué de souligner la nécessité de lutter contre la fraude dans l’électricité qui coûte la bagatelle de 20 milliards de FCfa à Senelec. C’est ainsi qu’il a demandé aux imams de « prêcher » les fidèles afin que cessent ces pratiques.
Au départ opposés à l’augmentation des tarifs de l’électricité, le collectif des imams de Guediawaye rejoints par les associations de défense des consommateurs, avaient exigé l’annulation pure et simple de la hausse de 8% sur les tarifs de l’électricité. Après la rencontre avec le Premier ministre qui leur avait fait savoir que la hausse n’était pas négociable, le ministre de l’énergie et des Biocarburants Samuel Sarr avait entamé des discussions avec les parties qui avaient alors jeté leur dévolu sur l’élargissement de la tranche sociale afin de permettre aux faibles revenus de supporter la hausse des tarifs. Ce à quoi les autorités du ministère étaient ouvertes.
De discussions en négociations, les parties se sont retrouvées hier au Cabinet du ministre et durant six heures d’horloge ponctuées de pauses pour cause de prières et afin de trouver une issue équidistante, les associations de consommateurs et le collectif ont accepté la pertinence et la cohérence des simulations faites par Senelec, même s’il était question de négocier le niveau de la tranche sociale en question.
Finalement, au lieu des 250 kw/h que réclamaient ces derniers, un accord a été trouvé pour l’élargissement de la tranche sociale jusqu’à 150 kw/h.
Avec cet accord, le client de la tranche 1 gagne le différentiel entre la tranche 2 et la tranche 3 qui est la plus chère car comportant une TVA en plus.
La tranche 1 est en effet la moins chère d’où son attribut de « sociale » et son élargissement permet aux revenus les plus faibles de consommer avec plus d’aisance sans payer cher, alors que cela n’aura pas d’incidence sur les clients des autres tranches. En revanche, cela aura certainement une incidence financière sur Senelec « mais que le gouvernement va assumer au profit des consommateurs », a déclaré le Ministre de l’Energie et des biocarburants.
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