« Vœux pieux », « déclarations de bonnes intentions », de nombreux observateurs ne font pas mystère de leurs doutes sur l'impact sur le terrain des promesses faites dimanche à Berlin. Certes c'est « un petit pas en avant », comme l'a souligné Angela Merkel, mais « la méfiance continue de régner » entre les parties au conflit, souligne l'analyste Naji Abou Khalil.
Et dans un contexte de bras de fer sur les conditions d'un éventuel accord de cessez-le-feu toujours pas signé, quiconque - parmi les parrains de ce conflit - déciderait de s'abstenir de soutenir son allié libyen prendrait, selon cet analyste, « le risque de perdre du terrain ».
Une hypothèse peu « réaliste » selon lui. D'autant que depuis 2011, les rapports d'experts de l'ONU documentant avec précisions les violations de cet embargo ont eu beau se succéder, aucun des personnalités, entreprises ou États présentés dans ces rapports comme responsable de ces violations n'a fait l'objet de sanctions de la part de l'ONU.
Et dans un contexte de bras de fer sur les conditions d'un éventuel accord de cessez-le-feu toujours pas signé, quiconque - parmi les parrains de ce conflit - déciderait de s'abstenir de soutenir son allié libyen prendrait, selon cet analyste, « le risque de perdre du terrain ».
Une hypothèse peu « réaliste » selon lui. D'autant que depuis 2011, les rapports d'experts de l'ONU documentant avec précisions les violations de cet embargo ont eu beau se succéder, aucun des personnalités, entreprises ou États présentés dans ces rapports comme responsable de ces violations n'a fait l'objet de sanctions de la part de l'ONU.
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