La fin des dépôts des listes est consommée depuis ce 29 avril 2014 en vue des locales de juin prochain mais le vice-président de Jëf Jël n’en démord toujours pas. Ndiaga Sylla, coordonnateur de l’Initiative pour la Préservation des Acquis Démocratiques (IPAD) soupçonne le pire. « Les décrets n°2014-499, 2014-500 et 2014-501 fixant respectivement le nombre de conseillers à élire ou à désigner au sein des conseils municipaux, des conseils de ville et des départementaux et attaqués devant la Cour suprême le 18 avril 2014 ont été abrogés, repris et publiés », dit-il.
Ce, « le même jour à la suite de la promulgation de la loi N°2014-18 portant Code électoral (partie législative) intervenue le 15 avril 2014 » poursuit Ndiaga Sylla qui rage. « Le prétexte servi pour justifier le nouveau décret n° 2014 du 18 avril 2014 est contenu dans l’exposé des motifs : « pour des raisons d’harmonisation et de cohérence, il a été plus judicieux de fondre les décrets précités en un seul». Attendu qu’un contentieux l’oppose à l’Etat du Sénégal, le vice-président de Jëf Jël au cœur de la division de le revue du code électoral de poser ses interrogations sur les motivations réelles de tels actes en ces termes.
A-t-on voulu purement et simplement se conformer à la légalité ? Chercherait-on à bloquer la procédure judiciaire pour éviter que les juges ne statuent au fond ? Cet acte obéirait-il à une logique de vertu de la gouvernance et d’élégance républicaine ? Le coordonnateur de l’IPAD qui reste attaché au respect des principes et de la légalité, compte sur la justice pour réagir. En pièces jointes : Extraits du numéro spécial du journal officiel de la République du Sénégal du vendredi 18 avril 2014, les copies de la version complète du journal officiel ont été remises le mardi 29 avril au Coordonnateur de Pôle de partis politiques par le Directeur Général des Elections.
Ce, « le même jour à la suite de la promulgation de la loi N°2014-18 portant Code électoral (partie législative) intervenue le 15 avril 2014 » poursuit Ndiaga Sylla qui rage. « Le prétexte servi pour justifier le nouveau décret n° 2014 du 18 avril 2014 est contenu dans l’exposé des motifs : « pour des raisons d’harmonisation et de cohérence, il a été plus judicieux de fondre les décrets précités en un seul». Attendu qu’un contentieux l’oppose à l’Etat du Sénégal, le vice-président de Jëf Jël au cœur de la division de le revue du code électoral de poser ses interrogations sur les motivations réelles de tels actes en ces termes.
A-t-on voulu purement et simplement se conformer à la légalité ? Chercherait-on à bloquer la procédure judiciaire pour éviter que les juges ne statuent au fond ? Cet acte obéirait-il à une logique de vertu de la gouvernance et d’élégance républicaine ? Le coordonnateur de l’IPAD qui reste attaché au respect des principes et de la légalité, compte sur la justice pour réagir. En pièces jointes : Extraits du numéro spécial du journal officiel de la République du Sénégal du vendredi 18 avril 2014, les copies de la version complète du journal officiel ont été remises le mardi 29 avril au Coordonnateur de Pôle de partis politiques par le Directeur Général des Elections.
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