L’objectif «Energie pour tous» d’ici 2030 ne peut se concrétiser sans la prise en charge de la question genre. C’est l’avis des organisateurs de l’atelier sur le lancement d’un «cluster genre et énergie». Pour Louis Seck Directeur Pays de Energy 4 Impact, c'est toute l’importance, selon lui, d’organiser ce genre de rencontre.
Revenant sur le lancement dudit cluster, Me Seck, déclare : un «cluster genre et énergie» est une Plateforme qui réunit tous les acteurs qui sont intéressés par la question genre énergie. Ces acteurs se retrouvent pour essayer d’échanger en synergie, de travailler pour voir comment mutualiser leurs actions. Ce qui va permettre de rationaliser les ressources, matérielles, humaines ou financières».
Et d’ajouter : «Prenons l’exemple de ‘’ONU Femme’’ qui travaille beaucoup sur cette question. Donc, si nous travaillons ensemble, peut-être que nous pouvons apporter notre expertise en énergie et eux en genre. C’est donc tout le sens de ce cluster que nous voulons mettre ensemble pour que les actions ne soient plus disperser. On travaille pour le même pays, donc il faut que chacun sache ce que fait l’autre pour qu’il n’y ait pas de doublon. Et surtout pour qu’on puisse mutualiser nos actions», a expliqué Louis Seck.
A l’en croire, «l’accès universel à l’énergie ne peut se faire ou être atteint que si toutes les composantes de la population s’y mettent, en particulier la composante femme». Il a par ailleurs déploré le rôle dédié à la femme qui «n’est que consommatrice », contrairement à l’homme. Alors qu’au Sénégal, «la femme est au cœur du système énergétique national. Ce qui fait qu’on ne peut pas exclure la femme là où se prennent les décisions. Car, on prend des décisions qui l’intéressent sans sa présence, alors qu’elle peut prendre cela».
Et de conclure : «en termes d’accès au niveau global, on tourne autour de 32% à 33% de taux d’électrification pour tout monde rural».
Revenant sur le lancement dudit cluster, Me Seck, déclare : un «cluster genre et énergie» est une Plateforme qui réunit tous les acteurs qui sont intéressés par la question genre énergie. Ces acteurs se retrouvent pour essayer d’échanger en synergie, de travailler pour voir comment mutualiser leurs actions. Ce qui va permettre de rationaliser les ressources, matérielles, humaines ou financières».
Et d’ajouter : «Prenons l’exemple de ‘’ONU Femme’’ qui travaille beaucoup sur cette question. Donc, si nous travaillons ensemble, peut-être que nous pouvons apporter notre expertise en énergie et eux en genre. C’est donc tout le sens de ce cluster que nous voulons mettre ensemble pour que les actions ne soient plus disperser. On travaille pour le même pays, donc il faut que chacun sache ce que fait l’autre pour qu’il n’y ait pas de doublon. Et surtout pour qu’on puisse mutualiser nos actions», a expliqué Louis Seck.
A l’en croire, «l’accès universel à l’énergie ne peut se faire ou être atteint que si toutes les composantes de la population s’y mettent, en particulier la composante femme». Il a par ailleurs déploré le rôle dédié à la femme qui «n’est que consommatrice », contrairement à l’homme. Alors qu’au Sénégal, «la femme est au cœur du système énergétique national. Ce qui fait qu’on ne peut pas exclure la femme là où se prennent les décisions. Car, on prend des décisions qui l’intéressent sans sa présence, alors qu’elle peut prendre cela».
Et de conclure : «en termes d’accès au niveau global, on tourne autour de 32% à 33% de taux d’électrification pour tout monde rural».
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