Pour une meilleure lutte contre les migrations irrégulières les polices africaines doivent mutualiser leurs forces pour plus d’efficacité. C’est ce qu’a fait savoir le commissaire Mamadou Ndiaye, chef de la division de la lutte contre les migrations irrégulières, Ndiaye s’est exprimé ce jeudi à Dakar lors de l’atelier de renforcement des capacités sur la migration irrégulière, organisé par l’Association des Journalistes pour la migration et la sécurité.
Selon le commissaire Ndiaye « la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF) doit se joindre aux autres polices de la sous-région pour mieux lutter contre la migration irrégulière », a-t-il confié.
A l’en croire « Toute tentative de lutte contre la migration irrégulière qui n’est pas initiée dans un cadre intégré est vouée à l’échec », a-t-il dit parlant de la mondialisation et du droit des populations à bouger surtout dans les espaces communautaires comme la CDEAO.
D’après le chef de division de la lutte contre les migrations irrégulières, « le flux migratoire est constant depuis quelque années dans la sous-région ouest africaine, ajoutant que plusieurs causes peuvent expliquer ce phénomène ».
Et parmi les facteurs il cite « la pauvreté, les différents foyers de tensions djihadistes mais aussi la douloureuse expérience des épidémies, etc, qui sont autant de facteurs qui poussent les populations à vouloir migrer sous d’autres cieux, sans respecter les règles établies pour la mobilité des uns et des autres ».
Autre facteur qui pousse les jeunes à tenter l’émigration demeure « la restriction dans la délivrance de visas pour la migration régulière qui pousse les jeunes à opter pour les formes irrégulières de migration ».
Selon le commissaire Ndiaye « la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF) doit se joindre aux autres polices de la sous-région pour mieux lutter contre la migration irrégulière », a-t-il confié.
A l’en croire « Toute tentative de lutte contre la migration irrégulière qui n’est pas initiée dans un cadre intégré est vouée à l’échec », a-t-il dit parlant de la mondialisation et du droit des populations à bouger surtout dans les espaces communautaires comme la CDEAO.
D’après le chef de division de la lutte contre les migrations irrégulières, « le flux migratoire est constant depuis quelque années dans la sous-région ouest africaine, ajoutant que plusieurs causes peuvent expliquer ce phénomène ».
Et parmi les facteurs il cite « la pauvreté, les différents foyers de tensions djihadistes mais aussi la douloureuse expérience des épidémies, etc, qui sont autant de facteurs qui poussent les populations à vouloir migrer sous d’autres cieux, sans respecter les règles établies pour la mobilité des uns et des autres ».
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