Macky Sall poursuit la mise en place de son système et de joindre à l’acte les promesses faites lors de sa campagne électorale. En effet, le président de la République a, selon le communiqué, porté à la connaissance du Conseil qu’il a décidé de procéder à une rationalisation du nombre et de la taille des structures chargées du pilotage et de la mise en œuvre des missions dévolues aux entités administratives de la Présidence de la République et du Gouvernement.
Le communiqué du Conseil des ministres de signaler : «le chef de l’Etat indique que cette option, irréversible, s’est déjà traduite par la limitation à 25 du nombre de départements ministériels au lieu de 45 auparavant. Il rappelle qu’il s’agit, avec détermination, d’éliminer les risques de double emploi, de confusion des rôles et des compétences entre des structures d’un même département ou entre deux ou plusieurs ministères et de supprimer les structures inopérantes, sans grande utilité pour le fonctionnement de l’État».
A ce propos, a-t-il ajouté, le président de la République informe le Conseil que cette volonté de rationalisation des structures administratives et de réduction du train de vie de l’État l’amène, d’ores et déjà, à prendre la décision de supprimer 45 directions et agences et que les économies budgétaires ainsi réalisées seront réorientées vers la satisfaction de la demande sociale.
Dans cet effort de réorganisation des services publics, le chef de l’État insiste sur la nécessité de mettre en œuvre le principe de subsidiarité pour que chaque opération du Gouvernement soit menée par la structure la plus efficiente dans l’utilisation des ressources. Sur ce même registre de l’efficacité, le président de la République engage, selon la même source, le Gouvernement à améliorer la communication entre les différents services pour accroître la complémentarité de leurs actions au bénéfice des populations.
Le communiqué du Conseil des ministres de signaler : «le chef de l’Etat indique que cette option, irréversible, s’est déjà traduite par la limitation à 25 du nombre de départements ministériels au lieu de 45 auparavant. Il rappelle qu’il s’agit, avec détermination, d’éliminer les risques de double emploi, de confusion des rôles et des compétences entre des structures d’un même département ou entre deux ou plusieurs ministères et de supprimer les structures inopérantes, sans grande utilité pour le fonctionnement de l’État».
A ce propos, a-t-il ajouté, le président de la République informe le Conseil que cette volonté de rationalisation des structures administratives et de réduction du train de vie de l’État l’amène, d’ores et déjà, à prendre la décision de supprimer 45 directions et agences et que les économies budgétaires ainsi réalisées seront réorientées vers la satisfaction de la demande sociale.
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