Le délai de cinq ans demandé par la junte est « irresponsable » dénonce Ismaël Sacko, président du PSDA, le Parti social-démocrate africain, et un des porte-parole du Cadre des partis politiques pour une transition réussie, au micro de Claire Fages de la rédaction Afrique.
L’échéancier proposé par la junte table sur la tenue d’un référendum constitutionnel en janvier 2024, sur des élections législatives et sénatoriales couplées en novembre 2025 et sur une élection présidentielle au plus tard en décembre 2026.
Ismaël Sacko appelle à l'union pour qu’à partir du 27 février, date à laquelle les autorités de la transition s’étaient engagées à organiser un scrutin. Celles-ci soient déclarées illégitimes et « qu'une autre équipe, que nous choisirons entre Maliens, prenne la direction du Mali ».
L’échéancier proposé par la junte table sur la tenue d’un référendum constitutionnel en janvier 2024, sur des élections législatives et sénatoriales couplées en novembre 2025 et sur une élection présidentielle au plus tard en décembre 2026.
Ismaël Sacko appelle à l'union pour qu’à partir du 27 février, date à laquelle les autorités de la transition s’étaient engagées à organiser un scrutin. Celles-ci soient déclarées illégitimes et « qu'une autre équipe, que nous choisirons entre Maliens, prenne la direction du Mali ».
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