Bâtiment, plastiques, acier, hôtellerie, et même boulangerie… Avec 11 secteurs d'activité et une centaine de holdings, le groupe Al-Mansour est un pilier de l'économie et de l’influence qatarienne. À sa tête, le Cheikh Al Mansour Bin Jabor Bin Jassim Al Thani, cousin de l'émir, commence cette tournée avec une délégation d'une vingtaine de personnes.
De la RDC à la Centrafrique en passant par la Tanzanie, le Burundi, la Zambie, le Botswana, le Mozambique, le Zimbabwe, l'Angola et le Gabon… Il viendra, à coups de milliards, pousser l'agenda économique et diplomatique de Doha, et avec la promesse de « partenariats gagnant-gagnant ».
20 milliards de dollars d'investissements attendus en RDC
La première étape, à Kinshasa, doit marquer les esprits, puisque selon la communication qatarienne, ce sont plus de 20 milliards de dollars d'investissements qui doivent être annoncés dans une quinzaine de secteurs, comme l'élevage, l'exploitation minière, le développement urbain, les hydrocarbures ou la santé.
Les autres pays visités peuvent attendre de 5 à 10 milliards chacun, notamment dans des projets aéroportuaires, en lien avec Qatar Airways, déjà fortement implanté au Rwanda. Kigali n'est pas au menu de la visite, mais les relations avec l'émirat sont déjà très approfondies. C'est d'ailleurs pour cela que Doha a accueilli les pourparlers entre le groupe AFC/M23 et les autorités congolaises.
Au total, la holding Al-Mansour jouit de 300 milliards de dollars issus du fonds d'investissement qatarien pour l'Afrique et l'Asie.
De la RDC à la Centrafrique en passant par la Tanzanie, le Burundi, la Zambie, le Botswana, le Mozambique, le Zimbabwe, l'Angola et le Gabon… Il viendra, à coups de milliards, pousser l'agenda économique et diplomatique de Doha, et avec la promesse de « partenariats gagnant-gagnant ».
20 milliards de dollars d'investissements attendus en RDC
La première étape, à Kinshasa, doit marquer les esprits, puisque selon la communication qatarienne, ce sont plus de 20 milliards de dollars d'investissements qui doivent être annoncés dans une quinzaine de secteurs, comme l'élevage, l'exploitation minière, le développement urbain, les hydrocarbures ou la santé.
Les autres pays visités peuvent attendre de 5 à 10 milliards chacun, notamment dans des projets aéroportuaires, en lien avec Qatar Airways, déjà fortement implanté au Rwanda. Kigali n'est pas au menu de la visite, mais les relations avec l'émirat sont déjà très approfondies. C'est d'ailleurs pour cela que Doha a accueilli les pourparlers entre le groupe AFC/M23 et les autorités congolaises.
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