Militaire malien en patrouille. Face aux rebelles touaregs, l'armée semble vouloir privilégier l'usage de la force. AFP PHOTO / KAMBOU SIA
La ville de Gao, située sur le fleuve Niger est devenue le siège du poste de commandement opérationnel de l’armée malienne. Le général Gabriel Poudiougou, chef d’état-major des armées est sur place. C’est de là qu’il coordonne les actions sur le terrain.
Ce samedi 21 janvier, il a pris a parole pour galvaniser les troupes et aussi pour laisser entendre qu’il n’y aura pas de trêve : « Ce que je demande à mes compagnons d’armes, c’est de continuer à saluer la patrie malienne pour que le Mali puisse vivre en paix et en sécurité sur l’ensemble du territoire national ».
Munitions en route
Lors de son intervention, se trouvait à ses côtés l’officier malien donné pour sérieusement blessé voire même mort au combat, le colonel-major Mohamed Ould Meydou, l’un des piliers de l’armée malienne face aux rebelles touaregs. Ce militaire, qui a tenu à préciser : « Il y a des gens qui sont en train de dire, sur les antennes, que je suis blessé, que je suis mort. Je suis devant vous ».
Le gouvernement malien semble de plus en plus privilégier l’option militaire et renforce ses positions. Ainsi ce samedi, d’après nos informations, deux camions chargés de matériel militaire sont venus par voie terrestre dans la ville de Gao en provenance d’un pays voisin. Et du sud, plus précisément de Bamako, ce sont des munitions destinées aux hélicoptères de combat qui ont été convoyées.
Source: RFI
Ce samedi 21 janvier, il a pris a parole pour galvaniser les troupes et aussi pour laisser entendre qu’il n’y aura pas de trêve : « Ce que je demande à mes compagnons d’armes, c’est de continuer à saluer la patrie malienne pour que le Mali puisse vivre en paix et en sécurité sur l’ensemble du territoire national ».
Munitions en route
Lors de son intervention, se trouvait à ses côtés l’officier malien donné pour sérieusement blessé voire même mort au combat, le colonel-major Mohamed Ould Meydou, l’un des piliers de l’armée malienne face aux rebelles touaregs. Ce militaire, qui a tenu à préciser : « Il y a des gens qui sont en train de dire, sur les antennes, que je suis blessé, que je suis mort. Je suis devant vous ».
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Source: RFI
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