Des Tunisiens réclamant l’instauration de la charia ont manifesté à Tunis, le 16 mars 2012. REUTERS/Zoubeir Souissi
« Le peuple demande l'application de la charia », ce slogan des milliers de manifestants l'ont repris devant le Parlement tunisien ce vendredi. Sur un trottoir, les femmes presque toutes voilées, en face, les hommes souvent barbus portant la toque, la tunique et le drapeau noir de l'islam radical.
Parmi eux, Zied, 32 ans, expert comptable : « On ne veut pas de la laïcité. On est un peuple musulman donc notre demande c’est d’appliquer la charia. Toute la législation doit être basée sur la charia islamique. Toute la législation quelque soit la Constitution, les lois, le droit pénal ».
Une démonstration de force très bien organisée. Tous ont afflué à l’appel d'associations islamistes. Dans le cortège, beaucoup de salafistes mais aussi des militants d'Ennahda, même si le parti au pouvoir n'est officiellement pas favorable à l'application de la charia.
« Je suis du parti Ennahda, explique un homme dans la foule. Le parti ne me demande pas de manifester mais moi à cause de mes propres croyances je dois être présent car je crois en la charia ».
Certains députés sont favorable à l'introduction du mot charia dan le droit tunisien. Alors qu’à gauche certains promettent de quitter l'Assemblée si la loi islamique est retenue dans la nouvelle Constitution.
Source: RFI
Parmi eux, Zied, 32 ans, expert comptable : « On ne veut pas de la laïcité. On est un peuple musulman donc notre demande c’est d’appliquer la charia. Toute la législation doit être basée sur la charia islamique. Toute la législation quelque soit la Constitution, les lois, le droit pénal ».
Une démonstration de force très bien organisée. Tous ont afflué à l’appel d'associations islamistes. Dans le cortège, beaucoup de salafistes mais aussi des militants d'Ennahda, même si le parti au pouvoir n'est officiellement pas favorable à l'application de la charia.
« Je suis du parti Ennahda, explique un homme dans la foule. Le parti ne me demande pas de manifester mais moi à cause de mes propres croyances je dois être présent car je crois en la charia ».
Certains députés sont favorable à l'introduction du mot charia dan le droit tunisien. Alors qu’à gauche certains promettent de quitter l'Assemblée si la loi islamique est retenue dans la nouvelle Constitution.
Source: RFI
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